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Europe : politique

Juncker s’assoit sur la souveraineté des peuples

Interrogé dans Le Figaro, Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, qui avait appelé à voter pour la coalition battue aux élections en Grèce, déclare :

«on ne peut pas sortir de l'euro sans sortir de l'Union européenne»

Puis à la question « comment l'Europe doit-elle traiter un pays qui décide démocratiquement de sortir du rang ? », réponse :

« Il ne peut pas y avoir de choix démocratique contre les traités européens ».

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20 commentaires

  1. Que tous ceux qui ont voté pour Maastricht pleurent des larmes de sang.
    Fallait pas…

  2. Incroyable mais vrai! Ces non élus se prennent pour Dieu le père!

  3. Effectivement, nous sommes, comme la Grèce, prisonniers de l’Europe!
    «on ne peut pas sortir de l’euro sans sortir de l’Union européenne»
    On peut sortir de l’union européenne.
    L’article 50 du Traité le prévoit :
    “1. Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union.”
    LA suite ici :
    http://www.upr.fr/lupr/article-50-du-traite-sur-l-union-europeenne

  4. “Toi qui entre ici abandonne toute espérance ”

  5. Eh bien cela s’appelle du totalitarisme, tout simplement ! Mais il faudra le briser, pour survivre, tout aussi simplement !

  6. Version européiste de la “dictature du prolétariat” (“prolétariat” censé être représenté par les technocrates bruxellois…)
    Nous n’avons pas fini de découvrir les perversions latentes de ladite démocratie impérative.

  7. S’il ne peut y avoir de choix démocratique, il nous reste la corde pour pendre Junker !

  8. Jean-Claude Juncker, le jour où vous aurez sous le menton une baïonnette, ou n’importe quel autre engin dangereux, vous verrez ce que la démocratie fait des traités européens et des autres traités ! Si vous ne me croyez pas relisez vos livres d’histoires.

  9. Hallucinant ! Ça en long sur leur idéologie !!!!!
    Traité non démocratique – imposé par la ruse et le mensonge
    Puisse Dieu nous libérer et puissions nous être des acteurs d’une reconstruction basée sur la doctrine sociale de l’église – dictrine sui respecte qui aime et qui fait grandir.
    Honte à leur idéologie écrasante, castratrice, irrespectueuse, basée sur la mort, la perdution et le mensonge.
    Embrassons tous Celui qui est le Chemin, la Vérité et la Vie

  10. Cela n’étonnera que les eurosceptiques; les euro-lucides savent depuis longtemps à quoi s’en tenir.

  11. S’il ne peut pas y avoir de choix démocratique contre les traités européens c’est donc que les traités européens ne sont pas démocratiques….

  12. Les nationaux socialistes ne disaient pas autrement.
    Quand on s’appelle Juncker, les gênes ne peuvent s’empêcher de parler.
    L’Europe est bien un totalitarisme, une dictature à apparence mollassonne.
    Raison essentielle pour l’envoyer paître.

  13. Au moins c’est clair, bonjour la dictature, dhimmis réveillez-vous.

  14. Et moi, je m’assois sur Juncker.

  15. “Il ne peut pas y avoir de choix démocratique contre les traités européens ».
    Ne vous en faites pas Mr Juncker, puisqu’on ne peut démocratiquement décider de sortir, nous ferons un choix pas démocratique… et je suis curieux de voir ce que vous aurez à dire.

  16. J C Juncker le Pdt de l’UERSS !!!
    J C Juncker , ou l’organisateur en chef de la fraude fiscale de 340 multinationales !!
    https://www.youtube.com/watch?v=QuNS32NsCUw
    http://www.politis.fr/Juncker-au-centre-d-un-scandale,28907.html
    https://www.youtube.com/watch?v=NRrbZ2GaNuQ

  17. Je n’ai cessé de l’écrire : l’Union Européenne est, comme l’était hier l’Union Soviétique, une “prison des peuples”, un processus soviétiforme.

  18. Les kommissaires de l’UE étant des imposteurs tyrants anti-démocratiques et non élus par les peuples, ils persistent à se croire une version similaire aux diktats bolchéviques qui imposaient son étouffoir dans chaque nations soviétiques et s’imaginent en plus que l’ue devrait ressembler aux usa où les états sont mis en coupe réglée soumis aux diktats d’unwashington.dc fédéraliste obligatoire pour tous sans options pour s’en débarasser .
    Mais les nations européennes ne sont pas de nature fédéraliste ni conformiste ,et nous n’avons pas à tolérer le pire carcan de l’ue qui refuse d’autant de respecter les peuples à décider eux-memes de leurs destins !
    Toute l’histoire depuis l’Antiquité prouve que la prospérité d’une nation s’établit par le droit de battre monnaie et protèger ses propres frontières ,car quiconque n’y veille pas finit soumis à des envahisseurs et des interets étrangers contre le peuple et sa nation .
    Les européens ont le droit de sortir de l’ue sans fournir d’explication ,et sortir de l’euro pour retrouver leur souveraineté mise à bas par l’UE anti-démocratique .
    Il faut le savoir ,le dire et le faire …..au lieu de continuer à mentir qu’on peut rester dans l’euro et l’ue et retrouver libertés et prospérité sans se préoccuper des frontières comme le fait la Grèce avec Syriza

  19. Juncker a raison. Les traités européens ne permettent pas aux pays “membres de l’euro” de sortir de la monnaie “unique” sans sortir (aussi) de l’UE.
    Mais il oublie de préciser que l’on ne peut pas non plus “faire sortir de l’euro” un pays DEJA membre de l’euro ! Les menaces, souvent brandies, d’une exclusion de l’UE, suite à une décision des “26” (contre le 27ème) n’ont donc aucune valeur.
    Juncker oublie aussi de préciser que “sortir de l’UE” n’induit pas qu’on soit condamné à “l’isolationnisme” ! Passer un accord bilatérale (comme avec la Suisse) est donc tout à fait plausible.
    Juncker oublie surtout de préciser que les banques allemandes et françaises ont beaucoup investi en “dette grecque”. Et qu’en conséquence, ni la chancelière allemande ni notre président français, ne prendront le risque de “lâcher” la Grèce, car le faire, c’est toucher aux “intérêts” desdites banques !
    Quant à la réponse de Juncker, concernant le “traitement” d’une décision souveraine, celle-ci est plus maladroite que méprisante.
    En effet, une élection nationale ne peut altérer la validité d’un traité. Ce qui le peut, c’est une dénonciation d’un traité existant, préalable à une “sortie de traité”.

  20. A méditer par tous ceux qui pensent que la démocratie est la solution.
    En France, comme au sein de l’UE, la démocratie maçonnique est le problème. Et une éventuelle arrivée au pouvoir du FN n’y changera rien.

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