Lu dans Les Echos :
Les études scientifiques montrent que la fertilité mondiale est en déclin et que la population mondiale pourrait redescendre à 4 milliards d’ici la fin du siècle. Au-delà d’une baisse de la démographie, le phénomène pourrait avoir des conséquences économiques majeures.
Bien que le nombre d’êtres humains vient de passer le cap des 8 milliards, la fécondité mondiale ne cesse de diminuer. En cause notamment, une fertilité masculine qui baisse à cause des modes de vie contemporains. Alors que l’on craignait une planète surpeuplée pour les prochaines décennies, la perspective des 10 milliards d’habitants pourrait finalement s’éloigner. Est-ce une bonne ou une mauvaise nouvelle ? « The Economist »penche plutôt pour la deuxième option.
Pour l’hebdomadaire britannique, « l’effondrement des naissances pèse sur l’avenir de l’économie mondiale », et cela pour une raison simple : les 15 pays avec les PIB plus élevés voient leur population diminuer car le taux de fécondité par femme est inférieur au taux de remplacement, à 2,1 actuellement.
A.MOR
Cela va surtout affecter la richesse du patrimoine génétique.
Leur économie ne présente aucun point remarquable, rien à admirer, au quotidien nous avons :
Faillites destructions industrielles pertes de savoir faire, chômage.
S’ils étaient si inquiets, ils commenceraient par poser la question de la principale cause,
L’avortement.
L’effondrement du système est presque souhaitable, il donnera à chacun sa vraie valeur, sa vraie place.
cadoudal
la République aime la mort:
son programme c’est , pilule abortive, avortement au couteau , suicide assisté , euthanasie, élimination des infirmes comme Vincent Lambert, culte de Sodome et Gomorrhe.
Horace
Au-delà d’une baisse de la démographie, le phénomène pourrait avoir des conséquences économiques majeures. Voilà la réaction des économistes pour qui il faut toujours produire plus, gagner plus d’argent, dépenser plus, consommer plus. Voilà un système qui ne peut tenir à long terme. Mais de cela les économistes, boursicoteurs, banquiers sont inquiets. Tant mieux, la nature réagit à sa façon. Baisse de fertilité, moins d’humains, moins de voitures et d’avions. Moins de consommateurs. Et ce sera très bien.