Jacques Voisin s'en prend violemment à la CFDT et, à travers elle, à son secrétaire général, François Chérèque :
"C'est parce que les dirigeants de la CFDT sont toujours prêts à faire des concessions, à se compromettre avec le gouvernement et le patronat, à accompagner le système, pour que la pilule soit moins amère à avaler par les salariés du privé, les agents du public, les demandeurs d'emploi et leurs familles, que le monde du travail n'a rien à attendre de cette organisation".
"En témoigne son obsession de nous faire disparaitre du paysage syndical, allant jusqu'à se faire complice avec la CGT, le Medef et l'UMP pour adopter la loi sur la réforme de la représentation."