Jean-François Roubaud, Président de la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME), commente l'ouvrage de Laurence Parisot, Présidente du Mouvement des entreprises de France (MEDEF), Un piège bleu Marine :
« Non, écoutez, moi, je suis là pour défendre les entreprises et j’ai un vieux proverbe que me donnait mon grand-père il y a très longtemps déjà : ‘à chacun son métier les vaches seront bien gardées’. Moi, je m’occupe des chefs d’entreprise et des entreprises des TPE et des PME, je ne m’occupe de rien d’autre et la question que je poserai à tous ses responsables politiques, c’est qu’est-ce que vous allez faire aux entreprises, comment vous allez gérer nos problèmes ? »
incongru
quel homme de bon sens!
l'anarcho
Parisot est hyper immigrationniste… on s’est pourquoi… – Sarko disait à l’époque: l’homme n’est pas une marchandise comme les autres…
Tout est dit.
trahoir
Le combat soi disant “anti fachiste” est l’aveu de la nullité du programme de celui qui le porte.
Cette dame n’a que très peu de poids dans les instances nationales et internationales, son entreprise a été vendue dans mon souvenir, de plus elle n’est pas en mesure de parler des sujets qui fachent comme l’explosion de l’€ et ses conséquences pour les entreprises françaises.
Cette question devrait pourtant la préoccuper JOUR ET NUIT en ce moment. Et les patrons attendent ses lumières avec impatience.
Sa solution pour noyer le poisson et se faire de la pub : exister en parlant de Marine. Vieille méthode gauchiste d’adossement à une célébrité pour se faire un nom.
Et peut être une demande du pouvoir qui sait que nous ne sommes qu’au début de la crise que Marine avait prévue (et moi aussi).
Parisot est à l’économie ce que Rama Yade était aux banlieues, une fille à papa qui fait son tour de chants à la demande des puissants.