Les périodes absurdes font coexister longtemps le rire avec les larmes, jusqu’à ce que les événements finissent par dire l’intention de ceux qui les génèrent. Il y eut un film dont le nom est dans le titre et qui fit rire des générations, il y a aujourd’hui une situation française qui donne à ce film une portée prémonitoire et qui, s’il n’y a pas le sursaut attendu du bon sens, se transformera bientôt en tragédie nationale.
En prenant le train (rappelé trois fois à l’ordre par un contrôleur rouge d’indignation et revenant exprès jusqu’à moi pour deux centimètres de masque baissé dans un wagon vide), en entrant dans mon bar habituel (recadré sèchement pour avoir fait quatre mètres sans masque entre l’entrée et ma place), en écoutant la radio (découvrant à quel point le redoutable Jean-Jacques Bourdin peut être un roudoudou avec Jean Castex), en faisant un voyage de groupe (entendant une triple vaccinée obsédée du masque en extérieur revenir positive mais intimer à tous le devoir de se dénoncer comme cas contact), je ne me suis pas franchement dit ces derniers temps que j’avais la chance de vivre mais que je faisais partie d’une société qui m’avait réduit au rang d’animal soumis pour en conserver le droit.
Comment un pays comme la France, dont la gloire et le génie s’est érigé au fil des siècles au prix de risques insensés, individuels et collectifs, a-t-il pu se résoudre à devenir un tel conglomérat muet de bonnes consciences avilies ? Comment autant d’institutions, de médias, de parlementaires et de grands serviteurs de l’État ont-ils pu à ce point se résoudre à abdiquer toute forme d’intelligence, d’indépendance et de courage ?
La liberté de ton ne s’entend que — faiblement — dans l’opposition et — s’égosillant — dans les couches populaires qu’on étiquette aussitôt à défaut de débattre. Je dois l’avouer, j’ai entendu plus de choses censées sur le Covid auprès des chauffeurs VTC que sur les plateaux télés.
Le roi est nu !
Il faut le dire : quels que soient les artifices et l’entêtement d’un pouvoir à vouloir donner une réponse binaire à une crise complexe par le passe vaccinal, les errements de la politique gouvernementale finissent, comme la nudité du roi devant l’enfant du Conte d’Andersen échappant à l’aveuglement de la cour, par crever les yeux. Désaveu de la vaccination de masse par Omicron, qui amène une contamination de grande ampleur de la population française alors qu’elle est vaccinée à 79 %, là où les pays africains hors Afrique du Sud, pour ne citer qu’eux, très faiblement vaccinés, sont très peu contaminés (Le Monde du 14 janvier). Désaveu du passe sanitaire quand on voit comment les régions espagnoles qui ne l’ont pas mis en place résistent bien mieux à l’épidémie que celles qui l’ont imposé (Okdiario du 14 janvier). Désaveu de la politique de l’État vis-à-vis des jeunes et des enfants (risque non justifié de leur vaccination, complications respiratoires, cutanées, psychologiques innombrables avec le masque obligatoire) (rapport OMS août 2020), explosion des suicides (rapport Hôpital Robert Debré notamment). Fiasco d’une politique de détection scolaire ubuesque, désorientant unanimement élèves, parents et professeurs. Perte irréparable de nombreux médecins, soignants et serviteurs de l’État mis à pied pour avoir refusé de se faire vacciner. Dette abyssale. Fractures sociales et politiques durables d’une société française exacerbée dans ses antagonismes, etc.
Quelle est la menace du Covid ?
Combien de fois faudra-t-il le répéter, car les faits sont plus têtus que les crédos gouvernementaux, le Covid reste, en nombre de morts, une menace marginale pour la société (127 263 morts en tout depuis mars 2020 (Santé publique France du 17 janvier), avec un âge moyen de 82 ans en 2020, 93 % de plus de 65 ans, 5 % de moins de 55 ans (Vidal.fr), avec des chiffres contestés (grand nombre de morts à causes multiples déclarées Covid) quand le cancer fait 157 000 morts par an en 2018 (Fondation Arc).
La vraie menace, c’est la surréaction gouvernementale qui paralyse un pays entier à chaque annonce nouvelle. Quand on traite chaque incident de frontière par une mobilisation générale des Armées (“Nous sommes en guerre”), le problème n’est pas l’incident mais la mobilisation générale (et, avec elle, la peur et l’épuisement qu’elle produit). La seule politique des “cas contact” est une invention de technocrate qui ne résiste pas à l’épreuve des faits car elle est tellement ingérable qu’elle pousse soit à l’amputation opérationnelle, soit au mensonge généralisé. Et pourquoi ? Parce que, à partir du moment où, la surprise passée de la première vague, le virus a commencé d’être appréhendé, deux axes et seulement deux axes devaient concentrer l’effort collectif : les personnes à risque (co-morbidité, personnes âgées) et les lits de réanimation.
Personnes à risques et lits de réanimation
C’est pour les premières que la vaccination, fut-elle bancale, avait du sens, car le rapport risque / bénéfice la justifiait. D’ailleurs, la logique eût voulu que, puisque le vaccin protégeait les personnes à risque, il n’était point besoin de vacciner les autres, comme pour la grippe. Pour dire les choses en une formule, ce n’est pas en doublant la fourrure des bisons sains que l’on règlera l’attaque des loups sur les bisons vulnérables. Le gouvernement accable de complications les bisons sains, non-vulnérables aux loups comme l’immense majorité de la population au Covid, sur le prétexte de bisons vulnérables d’abord négligés et aujourd’hui instrumentalisés. Du reste, une fois les dispositifs en place et sous réserve qu’ils soient en pleine possession de leurs moyens, les personnes à risque gardent le droit de préférer une vie pleine et courte à une vie plus longue mais contrainte.
Les seconds peuvent résumer à eux seuls la crise que nous vivons : ils sont le lieu sensible des phases de poussée des contaminations et la possibilité d’absorber les cas non conformes propres à toute crise. Leur manque n’est pas nouveau : de nombreux reportages en parlaient déjà pour les grippes il y a cinq ans, dix ans, quinze ans. Non seulement la crise n’a pas amené le gouvernement à les augmenter mais elle n’a pas su le convaincre d’arrêter leur diminution, même aux pics de contamination. La coordination avec le privé a été inexistante pendant la première vague et très lente et légère ensuite.
Regardons les choses en face : l’immense déploiement des confinements et de la vaccination, puis la culpabilisation des non-vaccinés ne procèdent, au fond, que d’une seule réalité opérationnelle, l’incapacité de l’État à monter en puissance sur ce lieu crucial (que l’augmentation des crises contemporaines exige, aussi sûrement que les militaires préparent dans le monde ou en France des forces de prépositionnement pour des crises potentielles). L’ensemble des chiffres d’alarme, paniques télévisuelles, taux d’incidence et incantations gouvernementales en faveur de soignants débordés face à la nouvelle vague s’enracinent sur cette simple réalité : les 3 à 4000 lits additionnels qui pourraient, à un coût bien moindre que tous les confinements, vagues de vaccination et tests incessants (prix financier, psychologique et moral !), permettre d’absorber les encombrements momentanés de l’hôpital. Le Covid a représenté 2 % des hospitalisations en 2020 (atih.sante.fr). Quel décalage entre cette réalité et le catastrophisme médiatique quotidien, digne des bilans des derniers bombardements pendant les guerres mondiales.
Un narcissisme d’État
Au centre de cette paralysie générale, il y a une très malsaine mécanique, celle de la peur. Et celle-ci procède d’une implacable logique de “bonne conscience”, censée détourner les masses des fautes inévitables du gouvernement en créant des camps dans la population. Ce procédé a une racine profonde : un rapport à l’image de soi qui ne souffre pas la contrariété ni le reproche et a le besoin pathologique de projeter ailleurs les erreurs qui en sont la cause. Minorer ses fautes est une chose, que tous les gouvernements pratiquent, mais s’obstiner à ce point à les nier en désignant un coupable avec acharnement, voilà qui est extrêmement dangereux et délétère. Cette tentation entre désormais dans une forme de démesure car l’entourage du chef de l’État a été purgé de tous ceux qui pouvaient encore lui porter la contradiction, et le schéma infantile d’une réassurance permanente à être irréprochable est en roue libre. À l’heure où un grand nombre de pays constatent les limites, voire l’échec de la vaccination de masse et du passe sanitaire, l’État français accélère et s’entête. Il déclare, toute honte bue d’éternel adolescent, vouloir “emmerder” les non-vaccinés et crée sans vergogne un système discriminatoire à leur encontre.
La peur entraîne la peur, le courage le courage
La réalité prendra le temps qu’il faut pour s’imposer aux esprits mais, avant ce lent processus, qui se lève ? Qui s’oppose ? Qui va enfin parler au Français comme le fait un chef, en mobilisant chez chacun ce qu’il y a de plus noble, de plus combattif, de plus collectif ? Croyons-nous vraiment qu’un Churchill ait pu faire de l’Angleterre ce qu’elle fut dans la dernière guerre en lui disant : “restez chez vous” ? Les bombes pleuvaient pourtant et aléatoirement. Il n’y a pas de mauvais soldats, il n’y a que des mauvais chefs. Un peuple se hisse et dépasse ses leaders quand on sait considérer et libérer son potentiel. Si on l’animalise, car la peur est un retour aux instincts primaires, alors il se replie sur ce qu’il a de plus vil et de plus moutonnier.
La France est une nation redoutable quand elle décide d’être grande et généreuse. Cela ne se déclenche pas par des discours aux Invalides entre deux gestes barrières, mais par le courage d’un retour à une liberté d’action dans les corps intermédiaires. Il n’y a pas de grandeur sans risque, sans possibilité de lâcher la “barbichette” internationale du principe de précaution pour choisir la liberté redonnée aux majorités valides et combattives.
Sortir de la division par un élan partagé
La France a un besoin prioritaire d’unité. L’unité, mieux que le rassemblement, donne un point de débouché partagé. Il y a bientôt trois ans Notre-Dame brûlait, montrant à quel point le pays prenait conscience de son âme quand celle-ci menaçait de s’effondrer. La reconstruction d’un tel symbole n’est pas seulement une affaire d’architectes, elle est une convocation à une ferveur, à un élan, au besoin d’entendre célébrer à tous les niveaux ce qui fit la France grande. Quand les tentations électorales consacrent les chefs de bande et les vendeurs de rêves, verrons-nous quelqu’un capable de transformer les dominos de la peur en une force coalisée de contributeurs autonomes et convergents ?
ose
Il ne s’agit pas de vouloir protéger les Français, il s’agit d’instaurer le crédit social à la chinoise. Partant de là tout s’explique. Inutile de vouloir élaborer des thèses et hypothèses de la gestion de la crise par l’Etat jacobin. Celui-ci revient aux sources ! C’est tout. C’est donc lui qu’il faut dézinguer.
VIVANT
Je suis assez partisan de voir comme cela la gouvernance planétaire par la peur infusée et la iatrocratie qui remplace les militaires dans le conseil de Défense. Le but est de détruire les nations, source de conflits et de diversité, selon leur idéologie de nowhere. Les GAFA et autres mondialistes n’aiment pas la biodiversité des peuples et des langues, ils veulent des citoyens uniformisés, vaccinés, soumis, des citoyens du monde. Pourquoi François de Sainte Marthe reçoit-il le vétérinaire qui dirige Pfizer ? Je dis cela car pour approcher de la vérité il faut mettre en place un faisceau de preuves vers la vérité en personne. François BERT touche le sujet mais par effleurement, de manière tangentielle, en formatage d’esprit militaire soumis aux ordres, en technicien des opérations. François est déjà entré dans le crédit social, il me semble qu’il voyage en train avec un ausweis demandé par le tyranneau, il accepte déjà la soumission en marche. Il sent bien que sa volonté au quotidien ne colle pas avec son intelligence et avec le contenu de son texte. Alors il crie adroitement, mais sans voir vraiment son maître à qui il obéit malgré ses cris, le Président qui n’aime pas ses peuples. Il devrait essayer de vivre vraiment du Maître qui libère, avec l’aide d’un prêtre qui fait passer. Le diable se cache dans les détails, François utilise un passe.
VIVANT
En lisant ce titre d’article, j’ai pensé au livre de Dominique Lapierre, ‘La cité de la joie’. Que de bons mots et de belles formules ciselées ! Bravo. Et comme c’est globalement un bon article je me permets de le commenter avec férocité. C’est manifestement un article de militaire, écrit par un militaire ; militaire un jour militaire toujours ! Cet article émane d’un homme ancré dans la nature, plus ancré dans la nature que dans la surnature. La cité de la peur est le monde sans le Christ, c’est globalement la cité des païens. Je vois que l’auteur accepte de prendre le train français et les conditions ‘légales’ qui s’y rapportent. Je suppose que c’est dans un TGV que vous avez habité temporairement. Donc votre conscience a accepté que votre volonté entraîne votre corps dans un train ‘fasciste’ (citoyen, non-citoyen, contrôlés par des hommes en ‘noirs’ sur le quai de la gare parisienne) à l’aide du ‘passe de la honte’ que vous avez brandi à un moment donné. Vous avez volontairement accepté la condition de soumis (la laisse au cou du chien de La Fontaine, pour nourrir votre famille et payer vos emprunts et factures) et après cette réalité acceptée vous criez comme un intelligent ‘loup libre’ sur le Salon beige. Sous-citoyen d’apartheid, je ne prends plus que des TER et n’ai pas tous vos soucis narrés. J’imagine donc, peut-être à tort, que vous êtes un animal bipède soumis au passe de la honte, tatoué au QR code de votre plein gré. Vous dites ensuite : ‘Comment autant d’institutions …’, mais François, c’est vous et votre plein gré qui avez refusé le martyr, le non possumus, la mort sociale qui est liée à un régime politique devenu discriminatoire et fasciste ! Votre discernement pèche par incohérence. Vos effets subis ont une cause que votre volonté a agréé. Et cet article manifeste en partie le mal être qui surgit en vous maintenant et qui est lié à une disjonction entre votre intelligence et votre volonté.
On sent le stratège militaire en vous, l’homme de la nature et non de la surnature. Le militaire se déplace de A à Z en prenant des chemins par étapes, il contourne s’il le faut ou prend un chemin détourné facile à intégrer. Le militaire veut aller à Z, c’est à la mode, je le soutiens et prenons donc la lettre Y. Mais le militaire sait-il désobéir afin de ne pas se rendre à Y ou à C en partant de A. Renoncer ! Surnaturellement renoncer. La chaîne de commandement militaire part de Macron pour aller se faire trouer la peau au Mali alors que des Maliens clandestins se font héberger quasi gratos dans des habitations subventionnées par la mairie de Paris et proches de la Samaritaine de LVMH qui participe à ce deal ! Engagement, chaîne de commandement, aux ordres ! De qui ? De César ou du Christ ? Du Sauveur qui libère la liberté des baptisés ? Qui vous a donné l’ordre de monter dans le train, point B, en partant de chez vous, point A, afin de gagner de l’argent en parvenant en Y ? La voiture existe ! L’argent mène le monde et les gens du monde. ‘Renoncer’, un maître mot avec ‘tenir’.
Ensuite vous dites ‘127 263 morts avec des chiffres contestés’ ! Alors pourquoi les utiliser car ils accompagnent mensongèrement le scandale du gouvernement par la peur injectée ?
‘Les personnes à risque’ ? : mon ami a 91 ans, en pleine forme physique, il a raison de ne pas se faire acupuncturer par ce produit sans AMM définitive, ni recul. Merci de dire en guise d’apaisement pro-liberté : ‘les personnes à risque gardent le droit de préférer une vie pleine et courte à une vie plus longue mais contrainte’. Mais c’est encore un galimatias de propos de zinc, Dieu pourvoie, assis ou debout, la mort dans son plan de Salut historique.
Le militaire en vous reprend : ‘Quel décalage entre cette réalité et le catastrophisme médiatique quotidien, digne des bilans des derniers bombardements pendant les guerres mondiales.’ François, tu es en face d’une gouvernance par la peur. C’est de la politique, c’est machiavélique. Gouverner par la peur, c’est classique, même pour la hiérarchie militaire ! Au trou ! Insubordination ! Nous avons de nombreux cas de militaires qui ont eu raison de ne pas respecter les ordres transmis et se diriger vers le but Alpha, hors contexte, un supra-but pour ne pas respecter le but initial ‘M’. François, vous dénoncez un système politique de post démocratie, sans le savoir, tout en agitant vos petits poings d’auteur dans une logique de confiance au système ambiant et en disant ‘je ne suis pas content des autres, des institutions, de moi’. Qui a pris le train confortable ?
« Si on l’animalise, car la peur est un retour aux instincts primaires, alors il se replie sur ce qu’il a de plus vil et de plus moutonnier. » Non, pas du tout, la peur et son corollaire l’angoisse sont pleinement humains, regardez autour du Mont des Oliviers. Du pain et des jeux ! D’ailleurs ai-je vérifié mon ticket perdant ou gagnant d’Euromillions avant de vous écrire ? Prions au pied du libérateur, cher esclave en train !
« Verrons-nous quelqu’un capable de transformer les dominos de la peur en une force coalisée de contributeurs autonomes et convergents ? » Chacun des mots de cette phrase transpire dans la chemise du militaire englué dans sa sueur. On sent le militaire reconverti en coach dans le civil. Il va faire des opérations. Il est en Opex. Sans le Saint-Esprit ! La nature humaine ne se réduit pas à son caractère naturel, elle est lieu d’opération de surnature, inaccessible à un coach laïc. C’est la Vie qui sourd, c’est la vraie entreprise, le vrai cheminement qui unit intelligence, volonté et révélation surnaturelle dans nos histoires et Son Plan de Reconquête des moutons, des chiens, des loups, des QR-codés.
AFumey
L’analyse est correcte mais semble passer à côté du problème.
Ce qui est désormais devenu évident, ne serait-ce que pour les contradictions très bien relevées, est bien que la “raison” sanitaire n’est qu’un prétexte. L’objectif clair est visible à travers la similarité d’UNE mesure mise en place dans la plupart des pays de l’UE: le “pass sanitaire”, ou “passe vaccinal” ou “green pass” selon la dénomination adoptée.
Très simplement, c’est l’adoption d’une nouvelle identité juridique, un véritable passeport, imposé par une puissance étrangère (l’UE) avec la complicité des dirigeants des états membres, qui rend caduque les diverses citoyennetés qui font la richesse de cette union de nations.
Vous croyiez avoir la nationalité française, muni de votre carte d’identité et/ou d’un passeport français à jour? Grave erreur: vous êtes virtuellement privé du droit de vote après l’avoir été de l’usage des infrastructures communes et de votre liberté d’aller et venir.
Oh, la manœuvre s’assouplira en “vote par correspondance”, concédé comme une largesse généreuse. Mais instruits par l’exemple corse (entre autre) et les bourrages d’urnes qui ont légitimement conduit à l’exclusion de cette pratique dans les années 70, et pour les mieux informés par l’exemple d’une élection truquée dans un grand pays dans un passé récent, vous vous abstiendrez car aucun contrôle n’est possible sur les bulletins envoyés par la poste et donc remplacés par ceux choisis par les autorités.
Armel
François, tu mets en lumière les contradictions de nos gouvernants après beaucoup d’autres et bien légitimement. Cependant, je me demande pourquoi la presse laisse filtrer les infos qui discréditent les gouvernants. Ne s’agit-il pas d’enfermer les esprits libres (le nôtre) dans un débat qui nous distrait des vrais causes pour lesquelles nous devons nous mobiliser : immigration, insécurité, chômage, famille, fin de vie, avortement, fiscalité, souveraineté, actes hostiles au christianisme ? Il n’est pas inintéressant de mettre en lumière ces contradictions quand on voit l’enfermement mental d’une majorité de Français : tu fais encore oeuvre de santé intellectuelle publique pour les moins féroces. Mais pourquoi le journal le Monde et les instituts nationaux et internationaux (Santé Publique France, OMS, OKdiario, athie santé, rapport hôpital Robert Debré) donnent ils si facilement la bâton pour battre les gouvernants ?
Il est vrai que nos libertés publiques sont en jeu et qu’il est tentant de s’emparer de ces contradictions. Mais les actes individuels répétés de dissidence dans la vie quotidienne (non port du masque) useront plus sûrement et en silence la crédibilité de nos gouvernants que d’enfourcher Rocinante, de s’armer du bâton donné par le journal le Monde et de se battre contre des moulins avec Don Quichotte en épuisant nos forces. Nos forces vives, nous devons les économiser et les concentrer dans la bataille politique : être candidat, être militant pour les prochaines élections, avoir une parole de vérité, soutenir une parole de vérité dans ces campagnes. Dans la bataille politique donc et dans la prière.
VIVANT
Très bien vu Armel. François BERT semble un jeune homme dynamique et sportif. Qu’attend-t-il pour entrer à Reconquête ? Pour L’Eglise et donc pour l’homme juste, se dévouer pour le ‘bien commun’ en politique est la plus grande des charités. Il est peut-être déjà un militant actif de Reconquête mais je sens dans le texte un ego trop sûr de lui, il manque d’humilité, son modèle doit se rapprocher de l’humble et discret Joseph et non pas de Thierry La fronde qui chevauche sa célèbre musique reconnaissable de loin en loin par un public.
Armel, les graves effets secondaires du produit injecté ont du mal à sortir et se manifester dans la tête des légitimistes âgés ou comorbides qui votent pour Picrochole 1er, leur petit timonier protecteur de leur mort ! Les journalistes appartiennent grandement au système oppresseur de la post-démocratie. Je plains les gens ‘droits’ qui sont sous le statut militaire, dévoués à une patrie terrestre en dissolution par une volonté politique oligarchique. Je rappelle que les clandestins (individus envahisseurs) sur les territoires français ne sont pas hors la loi. Je ne comprends plus ! Et le citoyen dépourvu de ‘passe de la honte’ ne passe pas certaines nouvelles frontières intérieures de sa patrie. François est dans un autre pays que le mien, un autre territoire que le mien quand il navigue en train. Par mes impôts je finance ses déplacements en train de tatoués au QR code, sans y avoir accès car je ne porte pas la laisse du chien, du bon toutou à son maître. A bas les privilèges ! Vous allez me dire que François a la chance porter à vie la protéine Spike des transhumanisés, François est un Trans !
Henri Marès
Cher François, cela fait deux ans que les Français font l’objet d’une prise de contrôle par des méthodes de PSYOPS. Il y aura une reconquête, c’est sûr, mais après purification…
Faliocha
Votre article est bien écrit, mais comme l’ont déjà soulevé plusieurs de nos petits camarades, il n’est pas audible car vous perdez toute légitimité en nous disant que vous allez dans votre bar favori (en supportant, de surcroît, de vous faire humilier comme un esclave entre la porte et votre table) et dans le TGV. Si vous êtes titulaire d’un passe, vous n’avez donc rien à nous dire, puisque vous êtes un numéro à QR code du régime macronien.