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Médias : Désinformation

La collusion entre les médias subventionnés et les partis politiques au pouvoir

La collusion entre les médias subventionnés et les partis politiques au pouvoir

C’est la gauche qui en parle le mieux :

 

Réaction d’Erik Tegner :

 

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6 commentaires

  1. 90% des journalistes votent à gauche et, grassement stipendiés par le régime, lui renvoient l’ascenseur en diffusant uniformément les mots d’ordre et les faiques niouses de la Propagandastaffel. Ça a très bien marché en 2017 et en 2022. Et ça continue encore et encore…

  2. Et c’est lui qui parle de “La Croix”!

  3. A ROUSSEAU deputé apres avoir ete ministre ephemere de la santé,DIRCAB de la BORNE, directeur de l’ARS IDF en 2021 ou il s’etait illustré par sa remarquable souplesse de colonne vertebrale pour vendre cette saloperie de vaccin anti COVID.. PERSONNAGE (communiste)A VOMIR!!
    Cette consanguinité ENA/ carriere POLITIQUE est à combattre sans relache.

  4. L’expression de ces gratitudes à la presse complice est l’aveu d’un litige.
    Mais là, A.Rousseau et tous ceux que ce litige a “servi” n’en voient absolument nulle part … de litige!

  5. s’il faut attendre les articles de la presse pour se faire une opinion, alors, à quoi bon voter ??? cervelles de moineaux, ou de poissons rouges, suivez le “guide macronnien”

  6. Bien. C’est très vrai. Mais il manque quand même une analyse de fond, parce que ça tourne très court. Paradoxalement, c’est un site gauchiste (si, si!) qui explique le mieux les choses concernant la totale sujétion, la servilité sans bornes des médias régionaux: ACRIMED. Exemple: https://www.acrimed.org/Europeennes-Macron-envahit-la-presse-regionale Consulter tous les articles d’Acrimed point org sur les connivences entre la PQR et le pouvoir macronien, et l’on comprend graduellement que la cheville ouvrière, c’est Jean-Michel Baylet et le Parti des Radicaux de Gauche qui est le nom que porte le GODF en politique (ils ne s’en cachent pas) afin de jouer les arbitres dans le sens du… “progrès”. Naturellement, Baylet, patron de la PQR, impose la ligne GODF qui fait les quatre volontés de Macron, et les journalistes, qui sont des salariés – c’est-à-dire des “agents dominés de la domination capitaliste”, des “oies rouges du Capital”, les gardes rouges de la haute finance – comme un seul homme, le petit doigt sur la couture du pantalon, appellent au front ripoublicain contre l’estrême droâte. D’ailleurs, c’est simple: si un journaliste ne jouait pas le jeu, la porte est là qui l’attend. Donc voir les mots “presse libre” et “PQR” dans la même phrase a de quoi déclencher l’hilarité! Depuis Mitterrand, dont la mère de Baylet était un fervent soutien, il n’y a plus de place pour la “presse libre”, ou, pour reprendre la formule lapidaire de l’autre: “maintenant, un journaliste, c’est une *** ou un chômeur”.

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