Nicolas Sarkozy a affirmé que la colonisation avait été une "grande faute", même si l’Afrique avait "sa part de responsabilité dans son propre malheur", citant les guerres, les génocides, la corruption, les gaspillages :
"Il y a eu la traite négrière, il y a eu l’esclavage, les hommes, les femmes, les enfants achetés et vendus comme des marchandises. Et ce crime ne fut pas seulement un crime contre les Africains, ce fut un crime contre l’Homme, un crime contre l’humanité. Nul ne peut demander aux générations d’aujourd’hui d’expier ce crime perpétré par les générations passées [et] nul ne peut demander aux fils de se repentir des fautes de leurs pères".
Des pères qui doivent se retourner dans leur tombe : il est facile de salir la mémoire de ceux qui sont morts. L’esclavage, lui, existe toujours (France–Paris, EAU, Chypre, Afrique…). Qui le dénoncera ?