Le député LR Patrick Hetzel est interrogé dans France catholique. Extrait :
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Collapsus
Régicide, infanticide, apostate, la France qui était fille aînée de l’Eglise n’a pas fini de descendre dans les abysses, abandonnée de Dieu.
400XR
Je dirais la république et non pas la France . Cela permet d’identifier le coupable et de ne pas désespérer. Et la république qui n’est que le syndic à qui la famille France a confié hélas la gestion et qui se prend pour le propriétaire de ce patrimoine prestigieux est trop contente que l’on entretienne cette confusion.
christianlair
Totalement de votre avis , Collapsus ! Et on peut ajouter à ces qualificatifs honteux celui de parricide ! Ne prônent-ils pas la piqûre définitive pour nos ainés dans les ehpads ? Et allez…hop ! ! ! Quelle décadence ……………….
Irishman
C’est la France qui a choisi d’abandonner Dieu !
C.B.
Les catholiques devront-ils s’abstenir d’embrasser toute profession médicale, sauf à accepter d’être contraints à participer à des avortements?
ruaux
C’est l’horreur absolue mais en médecine, il y a le médecin du travail comme fait ma fille.
Biem
Les catholiques devront-ils s’abstenir d’être français, si la loi constitutive de la nation s’articule autour de l’avortement comme valeur partagée?
ruaux
C’est l’horreur absolue mais en médecine, il y a le médecin du travail comme fait ma fille.
ThMortier
Et toujours, l’immense silence de Mgr de Moulins-Beaufort. A croire que la légion d’honneur qu’il a reçu suite à son traitement particulièrement conciliant du travail de la CIASE l’a rendu muet.
Renaud69
La loi repose sur l’interdit du meurtre.
Un droit ne peut pas contredire le fondement de la loi.
L’avortement peut donc seulement être une tolérance, une zone grise et non un droit.
Il y a déjà eu la dérive de faire de l’avortement un “droit fondamental”.
Maintenant, l’inscription d’un droit à tuer un enfant dans le ventre de sa mère dans la Constitution est un délire total pervertissant encore plus la notion de droit.
Irishman
Le Général de Gaulle disait fort justement qu’il y a la France, puis l’Etat ; quand les intérêts de ces deux là sont garantis, ensuite seulement vient le droit…