Tel est le constat d'une étude publiée mercredi dans JAMA Psychiatry. Evidemment ce n'est pas en France où la propagande totalitaire du gouvernement français refuse d'admettre qu'elle met les femmes en danger. Les pilules sont en effet distribuée gratuitement, sans ordonnance médicale, aux mineures sans l'avis des parents.
Entre 2000 et 2014, des chercheurs de l'université de Copenhague (Danemark) ont suivi un million de jeunes femmes âgées de 15 à 34 ans pendant un peu plus de six ans en moyenne. Pendant la durée de l'étude, 133 000 se sont vues prescrire pour la première fois des antidépresseurs et 23 000 ont été diagnostiquées dépressives. Plus de la moitié (55 %) du panel utilisait une contraception hormonale.
Bilan :
- chez les femmes sous pilule, le risque d'être traitée par des antidépresseurs était multiplié par 1,23 à 1,34, selon le type de contraceptif utilisé.
- Les adolescentes semblent encore plus sensibles aux effets de la pilule, avec un risque accru de 1,8 à 2,2 fois.
- Les jeunes femmes utilisant un autre moyen de contraception comme un implant, un patch ou encore un anneau vaginal sont trois fois plus susceptibles d'être sous antidépresseurs.
Mais on n'arrête pas la propagande (source d'un fric fou pour les laboratoires fabriquants ces produits) si facilement. Le Dr Channa Jasayena, professeur à l'Imperial College de Londres, a tenu à préciser :
« Les femmes ne doivent pas être dissuadées de prendre la pilule ».
Mieux vaut que les femmes soient dépressives plutôt qu'elles aient des enfants !