Le professeur José Maria Simon Castellvi, président de la Fédération internationale des associations des médecins catholiques (FIAMC), explique que les moyens de contraception violent au moins 5 droits :
- le droit à la vie ;
- le droit à la santé parce que la pilule contraceptive ne sert pas à soigner et a des effets secondaires importants ;
- le droit à l'information parce qu'il n'y a pas d'information sur les effets réels de la pilule :
- le droit à l'éducation parce que peu de personnes expliquent les méthodes naturelles de régulation des naissances;
- le droit à l'égalité des sexes pour que les hommes assument leur part de responsabilité.
Pour résumer : les moyens de contraception violent les droits de l'Homme.
malba
le droit au respect de celle qui choisissent de ne pas la prendre et que l’on regarde avec du mépris….
Alexis Dumont
Si la contraception viole 5 droits, plus les droits de l’homme …..et de la femme, n’y a -t-il pas matière à un procès auprès du TPI envers toutes les associations de planning familial ? Quand nous libérerons nous de notre peur alors que J-P II nous a seriné “N’ayez pas peur” durant plus de 25 ans ! Il y a des constats qui sont incompréhensibles, hallucinants, sidérants !
free
Malgré cela la natalité a fortement augmenter en France … Incroyable non ?