Les coups de menton de Gérald Darmanin iront-ils jusqu’à braver la cour supranationale de l’UE ? Il est permis d’en douter.
Saisie par le Conseil d’État pour statuer sur les recours de plusieurs associations pro-migrants, la Cour de Justice de l’Union européenne a affirmé dans un arrêt publié jeudi dernier que la France n’est pas légitime pour refouler une personne entrée clandestinement sur son territoire via une frontière Schengen. Ainsi, le gouvernement doit-il laisser un délai de plusieurs jours entre le refus du territoire et l’expulsion du clandestin, afin de lui permettre de quitter le pays… volontairement.
Interrogé par Valeurs actuelles, le ministère de l’Intérieur répond :
« La décision de la CJUE confirme tout d’abord que l’État membre qui a réintroduit le contrôle à ses frontières intérieures peut prononcer des refus d’entrée à l’encontre d’étrangers qui ne satisfont pas aux conditions d’entrée et de séjour. Il est primordial que les services du ministère de l’Intérieur, dans le contexte terroriste et migratoire que nous connaissons, puissent avoir les moyens de protéger les frontières. La capacité de contrôle et d’action des forces et services de l’État aux frontières demeure, pour assurer un contrôle des frontières et lutter contre l’immigration irrégulière et les risques sécuritaires associés. »
Irishman
Du blabla pour ne rien dire et ne rien faire… il faut d’urgence quitter la chienlit européenne bruxelloise qui est en train de nous étrangler petit à petit !
Aidons nous et le Ciel nous aidera !