La Cour suprême des Etats-Unis entame une nouvelle session qui pourrait se conclure par d’autres revirements, notamment pour le lobby LGBT.
En juin, la Cour suprême a révoqué l’arrêt sur l’avortement, sacralisé le droit au port d’armes, renforcé la place de la religion dans la sphère publique et limité les pouvoirs de l’agence chargée de la protection de l’environnement.
Ilya Shapiro, expert au sein de l’institut conservateur Manhattan, estime ainsi que la haute juridiction est en train de corriger les excès des années 70. Pour lui, l’arrêt qui a défini en 1978 le cadre légal pour les programmes de discrimination positive dans les universités est le prochain “dans le collimateur de la Cour”. Le 31 octobre, celle-ci consacrera en effet une audience aux mécanismes de sélection en place au sein de la prestigieuse université Harvard et de l’université publique de Caroline du Nord. Ces établissements, comme beaucoup d’autres, prennent en compte des critères ethniques pour assurer la diversité des étudiants. Ces politiques, parfois qualifiées de “racisme à l’envers”, ont toujours fait l’objet de contestations à droite mais jusqu’ici, les recours ont toujours échoué.
Cinq ans après avoir donné raison à un pâtissier chrétien qui ne voulait pas vendre un gâteau de mariage à un couple d’hommes, la Cour suprême reviendra également sur ce sujet sensible, saisie cette fois par un créateur de site internet. En 2018, elle avait rendu une décision à portée limitée. Cette fois, elle pourrait autoriser plus largement les commerçants, dont les produits ont une nature “créative”, à violer les lois anti-discriminations au nom de leurs convictions religieuses.
PierreMontamat
L’information est en effet très importante. Il était essentiel que Trump préserve cette ‘citadelle’ au service du bien commun. Elle va peu à peu détricoter les aberrations de ces dernières décennies. Revenir à la Constitution américaine, à ce qui fait le ciment du Peuple américain : c’est redonner le pouvoir au Peuple, comme le disait Trump dans son discours d’investiture.
Alors on comprend bien le sens de l’article de TF1 auquel vous renvoyez. C’est un tissu de fadaises militantes, une charge violente. Il s’agit d’un ‘article’ carrément engagé contre l’existence de la Cour Suprême elle-même ! Il s’en prendront désormais à la Cour Suprême chaque fois qu’elle bougera : la guerre est ouverte. Cet article est un texte militant, pas un texte d’information. Vous auriez pu renvoyer au texte d’AP News par exemple, diffusé par un journal conservateur.
Et, de fait, vous retranscrivez très mal l’objectif assumé en le présentant à l’aune de ce prisme ‘démocrate’ qui voit ses conquêtes remises peu à peu en question et qui se rebiffe. Le Juge Thomas l’avait déjà expliqué lorsqu’il avait fait l’objet de vives attaques en juin. Quelle libération pour la Cour de revenir à son travail !
Mais on est au-delà des ‘bonnes’ décisions que pourrait prendre la Cour. C’est tout l’enjeu actuel du pouvoir aux Etats-Unis. Les organes gangrénés du genre FBI ou CIA, l’Administration Biden les fait fonctionner dans la répression sauvage, et les organes ‘conservateurs’ on les dénonce… Il reste un gros travail de purge au sein des organes de pouvoir américain. Cela peut durer jusqu’en 2024… Trump a très bien fait de se mettre à l’écart, son action incessante de mobilisation porte ses fruits et de nombreux américains se sont mis au combat.
Le mois d’octobre va être crucial aux Etats-Unis, dernière ligne droite avant les élections du 8 novembre. Après l’affaire Nord Stream, quelle autre provocation va inventer l’Administration Biden ? Ils sont réellement gênés par la vague républicaine, et par l’action de cette Cour Suprême, et vont lancer des contre-mesures. Même les russes ne sont pas dupes et s’attendent à un mois d’octobre plein de surprises…
Collapsus
Les saines termites laissées par Trump dans les institutions continuent d’officier en sous-main tels des anticorps et creusent leur galerie dans l’organisme mondialiste et progressiste. Jusqu’à son effondrement ? Peut-être et s’il revient à la Maison Blanche. Les USA d’où viennent beaucoup de nos maux seraient-ils le berceau du renouveau ?
La route est encore longue pour débarrasser le monde de cette engeance, fruit pourri de la démocratie.