C'est l'avis à contre-courant du président de la Banque vaticane, Ettore Gotti Tedeschi :
"Le vieillissement de la population peut en réalité être considérée comme étant véritablement à l"origine de la crise économique en cours. Mais au cours de la prochaine décennie, ses conséquences risquent de ne plus être supportables, parce que le pourcentage toujours plus important de personnes qui sortent de leur phase productive entraînera un coût fixe impossible à supporter par ceux qui produisent. En outre, de moins en moins de personnes entrent dans le cycle productif, et quand elles y parviennent, c'est très lentement."
"Une famille d'aujourd'hui avec deux salaires gagne moins que ce que la même famille gagnait avec un seul revenu. C'est la conséquence de la pression accrue des impôts par rapport au produit intérieur brut, qui a doublé au cours de la même période pour absorber les conséquences du vieillissement dû à l'effondrement des naissances."