"A nouveau, le terrorisme islamiste a frappé à Bruxelles. Si aucune confirmation officielle n’est encore venue, le faisceau d’indications (cris en arabe, tirs, attaques simultanées) permet de l’affirmer. La première pensée doit bien entendu aller aux victimes et nos prières se porteront assurément vers leur famille. La crise s’est emparée de Bruxelles, dont les récentes enquêtes avaient dévoilé la gangrène islamiste, parfois jusqu’au cœur de la ville.
Il nous faut d’urgence considérer plusieurs états de fait et ne pas succomber à des manipulations émotionnelles qui n’auront pour objectif qu’une chose : nous détourner des responsabilités de ceux qui ne protègent plus les Européens. Les grands capitaux, la sidération migratoire, l’aveuglement devant l’islamisme doivent cesser de maitriser l’agenda politique de nos pays, ou nous connaîtrons le sort du Proche Orient avec des attentats chaque mois.
Il est évident qu’il y a des climats politiques et sociaux favorables au terrorisme. Quand ce climat s’ajoute à un peuple abandonné au profit des idéologies, les drames adviennent."