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France : Société

La délinquance des filles mineures en forte hausse

D La dernière étude de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales révèle que depuis 1996 la courbe des mineures mises en cause par la police et la gendarmerie a grimpé 3 fois plus vite, en moyenne, que celle des garçons: +133%, contre +40% pour les mineurs de sexe masculin. Aujourd'hui, les filles pèsent 15% de l'ensemble des mineurs qui ont eu maille à partir avec les forces de l'ordre: 33.000 filles mises en cause pour 181.000 garçons en 2009. Christophe Soullez, le directeur de l'ONDRP, commente :

"Jugez plutôt! sur cinq ans, le nombre de filles mises en cause pour violences et menaces a augmenté de plus de 80%. Même très jeunes, les filles n'hésitent plus à frapper pour régler les contentieux parfois les plus minimes, motivées par la jalousie, la vengeance ou au prétexte que la victime leur aurait manqué de respect, tandis que dans les cités, les filles participent de plus en plus aux violences collectives".

L'étude permet de découvrir que le nombre de mineures mises en cause pour violence non crapuleuse, c'est-à-dire non motivée par le vol, a doublé en cinq ans. Concrètement, cela signifie que la police et la gendarmerie doivent gérer annuellement 3500 cas supplémentaires de filles auteurs de coups et blessures volontaires et autres agressions gratuites. Soit dix de plus par jour qu'en 2004. Le nombre de filles mises en cause pour vols avec violence a aussi augmenté de 45%. La part des filles mises en cause a augmenté de 44% pour les cambriolages, de 30% pour les vols simples, et de 13% pour les vols à l'étalage.

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6 commentaires

  1. Normal ! les filles sont comme les garçons : mêmes vêtements, mêmes droits, même comportement etc.
    La délinquance des filles n’est qu’une conséquence de l’égalité (et donc de la négation et de la disparition) des sexes !

  2. Des bienfaits de l’égalité des sexes et de l’éducation unisexuée.
    Franchement, ces différences statistiques étaient une persistance archéologique injustifiée devant les grandes avancées du gender.

  3. Lorsque j’ai fait mes études de droit (il y a 40 ans), pour 10 personnes incarcérées, il y avait 1 femme et 9 hommes.
    je croyais naïvement que l’égalité des sexes serait réalisée lorsque la délinquance baisserait tellement chez les mâles de telle manière que ils seraient à égalité…
    Quelle erreur ! un résultat identique est en train de se réaliser sous nos yeux par l’augmentation de la délinquance du “deuxième sexe”…
    Qu’en aurait pensé simone de beauvoir ?

  4. Il y a au moins quelque chose qui progresse en république; liberté, égalité,ploufff. La devise grand orientale en prend un coup.Un point NOIR.Nous attendons les lendemains qui chantent(faux),le monde meilleur…

  5. Il faudrait parler de délinquant-e-s.

  6. Tout comme pour ce qui est des déviances sexuelles (pornographie comprise) il se révèle que la supériorité de la femme (jusqu’à présent incontestablement meilleure que l’homme dans ses actes) était d’origine essentiellement socio-culturelle (société patriarcale + christianisme). Tout cela a été largement détruit par la pilule, l’avortement, et le principe d'”égalité des sexes” conçu de façon réductrice, le tout orchestré par un pseudo féminisme essentiellement subversif.

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