Comparons deux situations tirées de la même longue séance des questions au gouvernement du mardi 20 octobre à l’Assemblée nationale (première séance depuis la décapitation de M. Paty par un musulman radicalisé).
Lors d’une de ses nombreuses interventions, qui démontrent à l’envi un manque total de facilité oratoire, M.Castex est ainsi interrompu :
Jean Castex, Premier ministre. J’ai indiqué il y a quelques instants, alors que vous ne m’écoutiez pas,…
Plusieurs députés du groupe LR. Mais si !
Jean Castex, …l’ensemble des mesures et des dispositions opérationnelles que nous avons déjà prises,…
Maxime Minot. Édouard Philippe reviens !
Y a-t-il, à ce moment-là, eu de la part de M.Castex ou de Mme Schiappa une quelconque réaction à ce dernier commentaire ? Aucune.
Quelques instants après, Mme Schiappa, dont les quelques interventions démontrent à l’envi un manque total de grandeur oratoire, est ainsi interrompue :
Mme Marlène Schiappa
Depuis 2017, c’est la priorité de la majorité et du Gouvernement : sans discontinuer, une action résolue est menée sous l’impulsion du Président de la République Emmanuel Macron…. Nous expulserons les étrangers radicalisés sans trembler et sans nous excuser – car, oui, il est temps d’arrêter de nous excuser de mener ce combat !
Pierre Cordier. Où est Darmanin ?
Y a-t-il, à ce moment-là, eu réaction de Mme Schiappa au commentaire ? Oui, bien sûr. Immédiatement Mme Schiappa a rétorqué : « Quelle remarque sexiste ! »
On rappellera une définition de la paranoïa : trouble du fonctionnement mental qui se manifeste par une méfiance exagérée des autres, une sensation de menace permanente et un sentiment de persécution. On a bien l’impression d’y être.
Complétons alors la définition donnée par ce même site :
« Le traitement repose sur une psychothérapie associée à la prise de neuroleptiques. L’hospitalisation est parfois nécessaire ».
Espérons qu’avec la mise en place du plan blanc pour décharger le service des urgences pour raison de covid, l’hospitalisation de Mme Schiappa puisse attendre encore un peu.
incongru
mais ce n’est pas de la paranoïa, c’est simplement l’application des préceptes de Staline adapté au contexte : répliquez avec un argumentaire hors sujet, et le temps que votre interlocuteur se justifie, ou rétorque, la discussion a déjà tournée à son avantage et est plus loin : facile, non ?
F. JACQUEL
@incongru
Plus précisément, Staline disait qu’il fallait traiter son adversaire de fasciste.
L’habitude en est restée près de 70 ans après la disparition du “petit père des peuples”…
F. JACQUEL
Je rappelle mon commentaire du 20 octobre dernier :
Rappel de la signification de “schiappa” :
“Persona di scarsissime capacità, spec. nel gioco.”
“Personne de très peu de capacité, spec. dans le jeu.”
Tout est résumé…
👍👍👍👍
Par ailleurs, un(e) ministre paranoïaque ayant pour patron un psychopathe (https://youtu.be/ZoRcNlr4eHY) constitue un tout cohérent…
…pour le malheur de la France.
Sophie
Pourquoi l’hospitaliser? Elle ment c’est tout. Il n’y a pas de sexisme. Si elle ne s’en rend pas compte, c’est peut-être parce que sa conscience est tordue. Elle a besoin d’une conversion. Quant à hospitaliser des gens et leur donner des médicaments parce qu’ils font des jugements téméraires, des calomnies et des mensonges, c’est une honte. C’est prendre la psychiatrie pour la médecine de l’âme, bien que ce soit son nom, ce qui est en fait du ressort du Christ. Ces personnes ont besoin du Christ, de l’Esprit Saint pour les éclairer sur ce qui doit être pensé, quitte à ne pas penser ce qui est vrai mais seulement ce qu’il convient de penser, c’est à dire sans faire de jugement téméraire. Et le médicament, ce n’est tout de même pas l’eucharistie!