Suite à la décision de justice relaxant les étudiants de l’ICES, Breizh-info a tenté de joindre le directeur, Éric de Labarre, pour savoir s’il allait faire amende honorable après avoir cédé à la vindicte médiatique.
Nous avons eu Philippe-Henri Forget, directeur de la communication, qui nous a indiqué que l’établissement se refusait à tout commentaire sur cette conclusion judiciaire, tout en insistant sur le fait que le renvoi des deux élèves n’aurait pas été dû uniquement à cette affaire, mais à d’autres griefs internes à l’établissement.
Voici pourtant la lettre excluant l’un des protagonistes. A quels autres griefs est-il fait allusion ? :
DUPORT
Celui qui nuit à la réputation de l’ICES (qui n’a de catholique que le nom) C’est Eric de LABARRE !
sivolc
Tout à fait d’accord avec vous L.Leborgne. Ce que vous dites est la raison pour laquelle un employeur ayant licencié un employé pour faute grave se contredirait s’il acceptait un compromis lors du procès.
philippe paternot
ces étudiants m’ont tout de suite fait penser à jésus et les marchands du temple (la rage en moins)
la direction de cette école pourrait elle me traduire l’adage latin : errere humanum est, perseverare diabolicum
Collapsus
Aux parents, un seul mot d’ordre : sortez vos enfants de l’ICES ou annulez votre inscription, voilà encore un établissement qui a été infiltré par les faux cathos et dont le projet initial a été dénaturé . On n’y enseignera rien de bon avec une telle direction et vos enfants en pâtiront. Philippe de Villiers doit en être marri.
incongru
voila ce qui convient !!!