133 députés n’ont pas été réélus lors des élections législatives. Leurs collaborateurs parlementaires ont tous été licenciés. Ce sont les frais de ces départs forcés qui ont coûté le plus cher à l’Assemblée nationale.
- Les frais liés à ces départs forcés grimpent à 23,5 millions d’euros.
- 1,9 million d’euros pour financer l’allocation d’aide au retour à l’emploi des députés qui n’ont pas été réélus.
- La logistique du changement de députés et des collaborateurs a coûté 2,3 millions d’euros (achat de matériel des nouveaux députés, notamment l’équipement informatique, 60 000 euros pour de la papeterie et 32 000 euros de fournitures de bureau)
- Près de 20 000 euros ont été dédiés aux frais de communication (exemple : séances photos pour les nouveaux élus).
C’est pourquoi Michel Barnier envisage d’augmenter les impôts… (chouette la droite revient au pouvoir !).
Thibaud
En contrepartie on a retardé l’euthanasie d’au moins 6 mois. Bonne dépense.
BelierG
Équipement informatique ? Je comprends que les précédents sont partis avec le matériel de l’assemblée sous le bras en guise de solde tous comptes ! Je comprends les subtilités du train de vie de l’état.
Vianney
En 2007, Nicolas Sarkozy avait mis en place un nouveau régime assedic pour les parlementaires non réélu de moins de 60 ans.
Les non-reconduits touchaient leur indemnités parlementaires pendant 5 ans, en étant dans leur fauteuil à la maison.
A partir de 60 ans, c’était 150% de retraite pour un mandat effectué et 3000€ si trois mandats.
Un petit exemple de la ruine de la France.
L’engraissement constant des politiques.
Vianney
1500€ de retraites et non 150%
F. JACQUEL
Un pognon de dingue à la charge de la plèbe des Gaulois réfractaires. Le pâle toqué élyséen joue décidément avec des jouets très onéreux !
“En même temps”, rapportés au déficit de la France, ceci est une goutte d’eau : 0,00875%.
Bagatelle !