Une nouvelle étude de l'University of Southern California, basée sur l'examen de 4633 femmes socio-économiquement défavorisée, blanches, noires et
hispaniques, a évalué l'impact de la famille ou de la non-famille sur la santé de leurs enfants.
Les enfants qui naissent dans des familles stables ont un meilleur poids à la naissance et sont moins atteints par des problèmes d'asthme jusqu'à leurs 3 ans, contrairement aux enfants nés d'une mère vivant seule.
Les résultats montrent une corrélation positive directe entre le sens des
valeurs familiales et le poids à la naissance de l’enfant. Ainsi une mère célibataire qui rêve d’une vraie famille, aura un
petit enfant en meilleure forme qu’une femme qui a décidé
de faire un enfant "seule" ! La preuve est ainsi apportée de l’efficacité clinique des valeurs morales liées à la famille.
Ce phénomène semble pouvoir expliquer "le paradoxe épidémiologique
hispanique" noté dès 1986 et qui fait qu'aux USA les immigrants
(majoritairement de culture hispanique) bien que plus pauvres que les
américains de souche sont paradoxalement en meilleure santé.
Phedre
C’est cocasse, le matraquage au 20h de France 2 dit exactement l’inverse…pas plus tard qu’hier soir… ” la vie de couple serait un modele depassé” ” maintenant, c’est l’individu autonome” dixit un sociologue pas tres propre sur lui. La propagande a des relais puissants de désinformation…. Ah nos chers journalistes français, dignes héritiers de Goebbels!