Du PS comme de l’UMP, les candidats parisiens draguent le vote de la communauté homosexuelle. Dernier exemple en date : Jean-Marie Cavada (Modem investi par l’UMP) dans le XIIe.
MJ
Du PS comme de l’UMP, les candidats parisiens draguent le vote de la communauté homosexuelle. Dernier exemple en date : Jean-Marie Cavada (Modem investi par l’UMP) dans le XIIe.
MJ
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HB
Même s’il y a de plus en plus d’homosexuels, qui pourtant ne se reproduisent pas, ils restent numériquement parlant une très faible minorité.
Donc on peut s’interroger sur la fébrilité de nos édiles à leur faire autant d’actes d’allégeance.
De fait ils y sont contraints par la secte franc-maçonne qui prétend avoir assez de poids pour obliger tous les candidats à passer sous leurs fourches caudines.
Si ces braves politiciens avaient assez de courage pour dénoncer la perversité homosexuelle et franc-maçonne, ils auraient peut-être plus de voix et on pourrait sans doute, commencer à construire sur du solide.
Mais a ce jour, seul compte le nombre de vote : Vive la démoncratie.
Anonyme
J’ai pour ma part été amené à assister à un débat au centre gay et lesbien entre candidats aux municipales. L’UMP y était attaqué pour son refus de voter les subventions aux associations gay, ainsi que pour l’investiture de M. Vanneste.
A l’évocation du nom de ce dernier, Pierre-Yves Bournazel, porte-parole de Panafieu, a eu l’élégance d’annoncer “y a des cons partout”. Très digne et courageux.
Pois Chiche
Franchement, est-ce qu’on s’attendait à autre chose ? Par exemple de J-M Cavada ?