Lu sur Famille et liberté :
"En France, 60% des femmes de 15 à 64 ans travaillent : juste l’objectif préconisé par l’Union Européenne. L’un des premiers rangs dans l’UE. De 25 à 49 ans, cela porte à 84% le nombre de femmes au travail. De plus, notre pays est reconnu pour être celui où se conjugue le mieux l’articulation travail/vie de famille. Celui aussi qui a le taux de natalité le plus élevé.
Tout semble donc aller pour le mieux ! Pas si sûr…
Le gouvernement, par la voix de Najat Vallaud-Belkacem veut atteindre, dans les dix prochaines années, les 70% de femmes au travail. Pour commencer.
Est-ce vraiment le souci de répondre à l’attente des femmes et d’ »améliorer leur conditions » qui dicte la politique militante du « droit des femmes » qui inspire nos gouvernements ?
Certes, le problème est bien réel et justifie un plan d’action gouvernemental : question de la retraite future des femmes qui n’ont pas accumulé de points par leur travail, besoin d’autonomie, précarité des femmes abandonnées ou veuves avec enfants, difficile conciliation de la maternité et de l’emploi, problèmes de garde d’enfant, réinsertion aléatoire après une longue interruption de carrière liée à l’éducation des enfant…
Il reste qu’il y a deux façons d’aborder ces problèmes : l’une, idéologique –autoritaire et constructiviste – L’autre, réaliste. L’une qui profite de ces difficultés bien réelles pour arracher les femmes à leur famille et à leur foyer sous prétexte de « lutter contre les stéréotypes » en les remplaçant par d’autres comme l’égalité, entendue comme confusion des genres. L’autre, essayant de concilier les légitimes aspirations des femmes en respectant leur nature et en reconnaissant le service qu’elles rendent à la société tout entière par la mise au monde et l’éducation des enfants. Non pas dans une dialectique contreproductive les opposant aux hommes, mais dans l’égalité et la complémentarité avec eux. […]
Il s’ensuit toute une série de mesures tout juste votées ou en passe de l’être : ouverture de l’école (appelée préélémentaire et non plus maternelle !) dès deux ans avec la création d’un grand service public de la petite enfance qui permettra d’ « arracher » les petits à leurs parents pour en faire de bons citoyens et alignera les divers modes de garde sur un modèle facilement contrôlable ; obligation pour le père de prendre une partie du congé parental –à un âge où le petit a surtout besoin de sa mère- sous peine d’en perdre le bénéfice ; restriction draconienne du temps partiel qui jusque-là permet à beaucoup de femmes de concilier vie familiale et vie professionnelle, individualisation de l’impôt pour casser la solidarité familiale et obliger les femmes, par une augmentation d’impôt déguisée, à travailler. […]
Tout cela pour quoi ? Pour que la femme soit « l’égale » de l’homme ? Car bien sûr, elle ne peut pas exister par elle-même, il faut toujours qu’elle se mesure à l’homme, seul étalon possible ; pour qu’elle soit « autonome » ? L’affirmation d’une personnalité autonome ne pouvant se faire qu’avec un salaire et un compte en banque ; pour qu’elle passe de la colonne statistique des « inactives » à celle, tellement plus noble de salariées ?
L’intention est clairement affirmée : c’est l’autonomie contre la solidarité et l’ « émancipation » contre toute forme de protection à l’intérieur de la famille, c’est chacun pour soi, seul. On ne doit pouvoir compter sur personne, sauf sur l’Etat […]"
ID
Y’a pas moyen de l’exorciser, Najat ?
Tol
Cette demande constante d’égalité avec l’homme démontre un complexe d’infériorité sous jacent. Ce sont en fait les promoteurs de l’égalité qui infériorisent la femme pour mieux la manipuler.
Enfin il n’y a pas de personnel plus exploitable pour un patron sans vergogne qu’une mère de famille seule. Elle a tellement besoin d’argent qu’elle ne refusera pas d’effort supplémentaire.
HS
Utopie dévastatrice pour l’équilibre familial, nombre de jeunes mamans largement diplômées commencent à le réaliser et prennent le risque de suspendre ou réduire leur activité professionnelle pour un temps (si celle de leur conjoint le permet), même sans congé parental, au détriment de leur “carrière” et au prix d’une simplicité volontaire assumée: cela suppose bien sûr un modèle familial solidaire, que le projet d’individualisation de l’impôt vise à détruire …
Roland Chastain
C’est vraiment étonnant, cet acharnement à détruire la famille. En fin de compte, qui est derrière tout ça, si ce n’est pas le Diable ?
DUPORT
“Le gouvernement, par la voix de Najat Vallaud-Belkacem veut atteindre, dans les dix prochaines années, les 70% de femmes au travail” (sic)
Un gouvernement de bons à rien
incapable de faire la moindre économie
incapable d’arrêter la fuite en avant des dépenses
incapable d’enrayer la chute de l’économie
incapable d’empêcher la faillite quotidienne de toutes nos entreprises
incapable de stopper le chômage
Veut créer 10% de chômeuses supplémentaire, en espérant en faire de nouveaux contribuables…
Cela relève de l’hôpital psychiatrique.
A moins que la destruction du pays ne soit leur objectif premier…
Exupéry
Je comprends que les femmes, aussi douées que les hommes, aient envie d’avoir un métier intéressant, et puis il a aussi les nécessités économiques… Au demeurant, confier la prime éducation de ses enfants – celle qui les marquera à vie par ses “expériences primales” – à des mercenaires plus ou moins compétents représente une décision très délicate.
Le monde est de plus en plus peuplé d'”enfants gâtés” (au sens qu’Alexandre Adler donnait à ce terme), de personnes aux désirs infantiles qui ne tolèrent pas la moindre frustration (ce qui explique en partie les séparations et la décomposition des familles).
Ceci est partiellement dû au travail des mamans. En effet, celles-ci culpabilisent plus ou moins de laisser le petit chez la nourrice où à la crèche ; de son côté, le petit souffre de la frustration de la “perte” de maman (cf. “l’angoisse de huit mois” décrite par Spitz), et parallèlement dans son nouveau milieu, il apprend à imiter les plus “braillards”, les plus agités, les plus récalcitrants…
En conséquence, statistiquement (car il y a heureusement des exceptions) ce sont des enfants plus “difficiles” qui le soir retrouvent des mamans (consciemment ou non) culpabilisant plus ou moins, et elles aussi frustrées par l’absence de leur enfant.
Il devient alors évident que, comme on peut le constater, nombre de mères sont donc incapables d’imposer l’autorité parentale, et ceci même lorsque l’enfant difficile/agité passe les bornes de l’admissible et que son éducation exigerait un NON ferme et intangible…
Ainsi voit-on et de plus en plus de bambins de moins de deux ans, qui à la moindre frustration manipulent (hélas efficacement) leurs parents par des “colères d’intimidation” et qui, aussi, n’hésitent pas à taper sur leur mère sans que celle-ci émette la moindre protestation…
Ce phénomène est très loin d’être accessoire dans la décadence de nos civilisation.
Sans condamner les femmes qui travaillent par impérative nécessité, rendons un hommage mérité à celles qui se sacrifient en restant des “mères au foyer”, pour le bien des leurs et de toute la société, ce sont des femmes fortes.
Piline
En tant que jeune maman qui galère pour allier vie pro/vie de famille (et encore je n’ai “qu’un” petit pour le moment) je dirai que la meilleure solution pour favoriser le travail des femmes c’est….de leur laisser le choix! Si trouver des places en crèches ou des nounous n’était pas si cher et difficile, nombreuses serait celles qui d’elle même continuerait à travailler l’esprit tranquille (et sans le faire pour ne gagner que 300 euros une fois déduis les frais de garde). Objectivement, je ne me vois pas moi même rester à la maison juste pour m’occuper de mon bébé (que j’adore je vous rassure)et le jour où je serai contrainte de le faire uniquement pour des questions d’argent, je le vivrai très mal.
A l’inverse, en contre partie, il faudrait valoriser celles qui font le choix de mettre leur carrière en pause pour élever leurs enfants, que cela ne pénalise pas le train de vie de la famille, ni les droits à retraite de la maman.
En gros, valoriser et faciliter ces deux choix, de sorte que celles qui choisissent de continuer à travailler le fasse pour leur épanouissement et non pas juste pour des raisons financières (horrible d’être forcé à travailler alors que l’on voudrait rester aux côtés de ses petits loups). Et que celles qui choisissent de rester à la maison puisse le faire parceque c’est un vrai choix et non pas qu’une contrainte financière (être mère au foyer si on le subit, dur aussi).
Ça passe aussi par la valorisation du temps partiel (pour trouver un équilibre entre les deux).
Aux esprits chagrins qui me diront que les enfants ont besoin de leur maman et qu’il n’y a pas de plus belle vocation que d’être mère je répondrai : oui…mais que ce soit un choix libre alors.(Travailler est aussi épanouissant pour les femmes, pour peu que ce soit un choix) Je changerai sûrement mon équilbre vie pro/perso lorsque j’aurai un deuxième à m’occuper ou un troisième bébé, mais aujourd’hui m’arrêter de bosser ou passer à temps partiel? Ausecours, pas pour moi :)
Aleph
Quand on constate l’instruction donnée par l’Éducation nationale on est rassuré, elles ne trouveront pas d’emploi, ou ne seront pas qualifiées pour les emplois proposés dans le cadre de la mondialisation; avec un bac + donné avec des dizaines de fautes.
Alors des caissières à Bac + pour payer le crédit plutôt qu’élever leurs enfants, si elles ne comprennent pas, leurs enfants finiront par comprendre, si le système ne les a pas éliminés, avortement, euthanasie.
Qu’une ministre du pays des droits de l ‘homme prépare la formation des centaines d’esclaves du crédit hypothécaire, devrait faire sourire ne pensez-vous pas, mais les femmes sont victimes d’elles mêmes, alors elles n’ont hélas que ce qu’elles ont semé.
Le responsable de tout cela c’est la loi Veil, combien de millions de cerveaux, enlevés à ce pays, il y aurait moins certainement de cerveaux étrangers à la tête de l’état, lesquels n’ont pas su gérer leurs pays et veulent nous apprendre à gérer le nôtre. Quant on voit l’espagnol, et que l’on sait l’état de l’Espagne, que pensez vous qu’il produise, ici?
Carlos
Il suffit d’aller dans une crèche pour s’apercevoir que des enfants de 3 mois à plus s’y trouvent ! En les regardant, on a l’impression de voir un reportage d’orphelins bébés roumains ! On sent qu’ils sont dans un manque d’amour total durant toute la journée. Et que penser de ce besoin normal qu’à le petit de téter sa mère ? Un lait qui lui apporte exactement ce dont il a besoin avec en prime l’odeur et l’amour maternel…. Une société qui sacrifie l’enfant, c’est à dire son futur, ne va-t-elle pas à sa destruction ?
Qui a tout fait pour mettre les femmes au travail ? Rockefeller ! Pour pouvoir imposer et le mari et la femme. Etonnant de voir que la théorie du genre fut financée par la fondation Rockefeller ! Un témoin parmi d’autres sur la nocivité de quelques membres de cette famille, Aaron Russo :
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=oCq72nPKtcw
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=SUTuzD52Wik
Carlos
Au début de cette vidéo Aaron Russo explique pourquoi Rockefeller a encouragé à ce que la femme travaille :
– Avant on ne pouvait taxer que la moitié de la population. En mettant les femmes à travailler officiellement (avant elles le faisaient officieusement) on taxait tout le monde.
– D’autre part, cela permettait d’avoir les enfants très tôt pour pouvoir les endoctriner et briser les liens familiaux.
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=SUTuzD52Wik
Anne
Notre monde est fait pour transformer l’individu en un animal consommateur qui ne pense surtout pas. Boulot, métro, dodo est son train train quotidien aidé d’un abrutissement télévisuel et agrémenté de médicaments contre l’angoisse. On lui fait croire que l’homme n’a jamais été aussi bien grâce à ses 5 semaines de vacances ! Pourtant au Moyen Age, il en avait 190 jours !
https://www.youtube.com/watch?v=tkvt7jBKdZs
Et il avait le temps de profiter de ses enfants, de sa famille…..
Maria
“Le gouvernement par la voix de NVB,veut atteindre dans les dix prochaines années…”
ON REVE…CES IDEOLOGUES DEMONIAQUES VONT ETRE FOUTUS DEHORS EN 2017..
panetier
L’émancipation des femmes :
http://dai.ly/xlg7tb
Alexandra
Endoctrinées dès leur jeune âge, les femmes, attention pas toutes, pensent que leur carrière professionnelle est l’étalon de leur valeur.
C’est ce que je pensais aussi jusqu’à ce que ma fille ait 6 ans (presque l’âge de raison) et que je voie chez elle une grande révolte à l’égard des enseignements que voulais lui transmettre. Là, j’ai arrêté de travailler. Mon deuxième enfant a été allaité jusqu’à ses 3ans1/2; elle est équilibrée et pleine d’empathie à l’égard des autres.
Annabel
Arrêtez de forcer les femmes à travailler !! Nous qui travaillons à des postes de responsabilité ne demandons pas à avoir davantage de chefs ou subordonnées féminines, les relations sont déjà assez difficiles comme ça. Que chacun puisse choisir et il y aura moins de chômage pour commencer si moins de femmes travaillent. Si un homme veut rester au foyer, il ne devrait pas être stigmatisé non plus. D’ailleurs ces gens là TRAVAILLENT aussi, c’est très dur d’être au foyer (expérimenté pendant les grossesses et franchement c’est moins fatiguant au bureau, car moins d’usure au quotidien, même si investissement intellectuel plus important + le stress). La liberté c’est le choix. on nous impose le choix du sexe, alors pourquoi s’obstiner à forcer les femmes au travail à l’extérieur ???
DUPORT
Piline doit faire un métier vraiment passionnant…
Exceptionnel…
Sensationnel…
Un métier épanouissant ! Sans doute dans une super société ou on ne gouverne pas par le chaos et ou on ne considère pas l’humain comme une merde.
Je n’ai pas la chance d’en connaitre…
Mais ça existe sûrement.
Elle a une… Carrière ! Quelle chance elle a !
Mieux que son bébé…
Qu’elle adoooooooooore !
Toussurlapnyx
Je me demande si toutes ces mesures (réduction du congé parental, du temps partiel…) n’ont pas le but inavoué exactement inverse : pousser un maximum de femmes à rester à la maison, en leur fixant l’objectif intenable de reprendre très vite leur boulot à temps plein ! Tout cela permettant de libérer des emplois… Celles qui tiendront le rythme infernal, ce sont des grandes bourgeoises qui peuvent employer du personnel et se limiteront à un ou deux enfants. Des Najat, en somme.
C.B.
STOP à l’expression “femme au travail”.
Je n’ai jamais vu, parmi les nombreuses mères au foyer que je connais, une seule femme qui ne travaillait pas.
Il faut cesser d’assimiler “travail” et “activité rémunérée”.
Il y a tant de gens qui sont payés à ne rien faire.
Piline
Vous allez rigoler Annabel, mais je bosse…dans la Fonction Publique :) Oui oui, une horrible fonctionnaire :p Quel cliché :p
Mon boulot est modeste, mais dans le peu de marge de manœuvre que j’ai, j’essaye de faire de mon mieux. Et parfois, j’arrive à aider des gens. C’est une belle récompense.
J’essaye de vivre cette petite phrase de Serge Dalens “Parce qu’il y a un scout quelque part, il faut qu’il y ait quelque chose de changé en mieux ” au quotidien. Et je vous assure que ce n’est pas facile.
Après pour le moment j’ai trouvé un équilibre entre mon boulot (passionnant, oui oui, même si humainement dur), et mon bébé (mais je ne me leurre pas, c’est bien parceque je bosse dans la Fonction Publique que je ne risque rien à “faire mes horaires”. Et que j’ai un mari formidable, qui s’investi lui aussi beaucoup dans la gestion du quotidien)
Le jour ou je ne pourrai plus maintenir l’équilibre (bien m’occuper de mon enfant/bien faire mon travail), la question ne se posera pas, priorité absolue à mon bébé.
Mais… l’équilibre est possible pour le moment, alors autant donner les moyens aux femmes qui comme moi désirent travailler de pouvoir le faire librement.(Et les moyens aux femmes qui souhaitent rester à la maison de le faire elles aussi librement, car c’est un tout aussi beau choix de vie. A condition que ce soit un vrai choix)
J’admire beaucoup les femmes au foyer (qui font un vrai boulot rappelons le!), peut être le deviendrais-je lorsque j’aurai d’autres enfants. Mais travailler me manquera, même si je n’ai pas une “carrière” comme vous le dite un peu ironiquement. Et même si oui, dans mon job, le chaos gouverne en maître et l’humain est bien souvent considéré comme une merde…eh ben justement j’y trouve ma motivation: si moi je ne suis pas là, à essayer d’y faire un peu de bien, qui me remplacera?
Tant que ce n’est pas nocif pour mon bébé, je continuerai à travailler.(j’insiste hein, je ne sacrifie pas mon enfant à ma “carrière”, là pour le moment l’équilibre est trouvé)Parceque… ben j’aime ça (bon sang les femmes qui aiment bosser y’en a, et ce ne sont pas toutes des féministes arrivistes… vous me verriez…la bonne petite catho coincée ^^’)
Voilà. Peut être m’avez vous trouvé condescendante envers les femmes qui “ne travaillent pas” (je suis assez d’accord avec Toussurlapnyx, être au foyer est un VRAI travail!), et c’est pour ça que vous avez réagis comme ça? Ce n’était pas mon intention (ni ma pensée!)
zézé
Satan vit ses dernières heures… il était là pour une centaine d’années et elles sont à la fin… donc faisons confiance à La Ste Vierge Marie, si on LUI demande, Elle nous exaucera !!! car il faut être satanique, pour enlever les enfants aux parents, mais le parti nazi l’a parfaitement réussi….