- sukuk : titre représentatif de la copropriété d'un actif tangible ou de l'usufruit de cet actif,
- murabaha : l'émetteur joue un rôle d'intermédiaire : un vendeur vend un actif à un financier islamique qui les revend à un investisseur moyennant un prix payable à terme,
- ijara : type de location-vente par lequel l'investisseur achète un équipement et le loue à une entreprise en crédit-bail,
- istisna'a : contrat selon lequel une partie demande à une autre de lui construire un ouvrage contre rémunération. Le paiement est assuré au fur et à mesure de la construction.
Avec ce nouveau cadre fiscal, la France se retrouve aux avant-postes de la finance islamique en Europe continentale et espère attirer les investisseurs appliquant les préceptes de la charia. Encore un effet de l'allahicité.
tiboabc
A part que c’est de la finance islamique, les piliers de la finance islamique sont assez moral…
C.B.
Combien y aurait-il (a-t-il, j’avoue mon ignorance) en France d’investisseurs appliquant les préceptes de la D.S.E.? Bénéficient-ils (bénéficieraient-ils) d’instructions fiscales similaires?
jejomau
Tout va bien . La prochaine étape consistera à séparer les guichets de la Banque de France . Le décret en cours propose de mettre en place des guichets exclusivement composés d’hommes barbus, l’arrière étant dédiée aux femmes voilées travaillant dans cette administration française .
Et comme il importe que la charia soit respectée intégralement : d’autres étapes suivront…
Robert Marchenoir
Des tripotées de commissions officielles payées par nos impôts gaspillent des dizaines de millions d’euros pour tenter de forcer les Français à dire “mél” au lieu de “mail”.
Mais quand il s’agit de finance islamique, Bercy inscrit joyeusement dans la loi française les “sukuk” et la “murabaha”.
“A part que c’est de la finance islamique, les piliers de la finance islamique sont assez moral.”
Bien sûr que non. Ca, c’est le mensonge éhonté que les islamistes et leurs complices locaux veulent nous faire gober.
Dans le même ordre d’idées, la vox populi de gauche commence aussi à prétendre que la viande halal serait meilleure pour la santé, plus “écologique”. Même les musulmans ne prétendent pas cela !
La finance islamique, c’est comme le voile islamique, la viande islamique et les lieux de culte islamiques : son seul but, c’est de prendre le pouvoir et de le donner aux musulmans.
Maintenant, si l’on considère que livrer la France et l’Europe aux musulmans est moral, évidemment…
Très concrètement, le premier effet de l’introduction de règles islamiques dans le code des impôts français sera l’embauche en masse de musulmans au ministère des Finances.
Vous ne croyez tout de même pas que c’est la brave inspecteur des impôts franchouille qui va se taper de comprendre la différence entre la “sukuk” et la “istisna’a”… Déjà qu’il a du mal avec les règles bien made in France…
Et si jamais les inspecteurs des impôts franchouilles se mettent aux délices de la “sukuk”, croyez bien que les musulmans leur chercheront des poux dans la tête en leur expliquant que leurs décisions sont erronnées, qu’ils n’ont rien compris aux règles de l’islam, qu’ils offensent la religion musulmane, et que le seul moyen de remédier à cela est d’ambaucher des gens vraiment compétents — comprendre : des musulmans choisis par les islamistes.
Après quoi, les inspecteurs des impôts musulmans auront tout le loisir de chercher prioritairement des noises aux non-musulmans — et de favoriser les leurs.
Voilà comment fonctionne l’islam. Voilà comment ça se passe, déjà, dans un secteur mille fois moins stratégique que la fiscalité : la vente de viande hallal par la grande distribution.
Martin
Remarquez bien, ceci dit sans provocation, dans la mesure où le système financier actuel est complètement non-chrétien (car talmudique et reposant sur le prêt à intérêt condamné par l’Écriture Sainte comme par la Tradition Catholique), je ne vois pas bien en quoi le système musulman qui, lui, rejette l’usure, serait pire en soi.
À force de se focaliser sur l’islam on oublie que ce ne sont pas les musulmans qui sont la cause du pourrissement des sociétés qui furent chrétiennes.
JCM
@Martin
… mais ce n’est pas l’Islam qui va les sortir de ce “pourrissemnt”. Voila le problème !
Robert Marchenoir
Le système musulman ne “rejette pas l’usure”. Il va, théoriquement, beaucoup plus loin, puisqu’il interdit le prêt à intérêt. L’usure est l’intérêt excessif et abusif exigé de quelqu’un qui est obligé d’emprunter pour survivre.
La crise financière actuelle n’est pas dûe à l’usure : elle est dûe au contraire à des taux d’intérêt trop bas.
Les gens qui empruntent aujourd’hui n’empruntent pas pour survivre : ils empruntent pour s’acheter des maisons, des écrans plats, des voitures, pour partir en vacances, pour créer des entreprises, pour les développer. Le taux d’intérêt serait-il abusif qu’il ne constituerait pas de l’usure.
La “finance islamique” est un mouvement tout à fait minoritaire dans le monde musulman lui-même. Son irruption en Occident est uniquement un cheval de Troie, un levier pour conquérir le pouvoir et islamiser l’Occident.
Enfin la “finance islamique” est essentiellement caractérisée par l’hypocrisie — comme l’ensemble de la religion et de la mentalité musulmanes, d’ailleurs.
Si les musulmans disaient la vérité, pratiquer la “finance islamique” devrait éradiquer le capitalisme, puisque ce dernier a besoin du prêt des capitaux pour exister.
Or, les zélotes de la “finance islamique” sont des über-capitalistes, qui construisent des tours, investissent dans des multinationales, mais en arabe et avec une djellaba (et encore, pas toujours).
Les fameuses sukukeries et autres enfumades ne sont que des habillages juridiques qui permettent de pratiquer le prêt à intérêt sans le dire. La BMW et les vidéos pornos avec le minaret, en quelque sorte. (La plus grande partie des ordinateurs saisis chez des islamistes contiennent des images porno.)
C’est la même hypocrisie qui a conduit, cette année, les familles musulmanes “françaises” à ne pas aller au vancace “au bled”, contrairement à l’habitude, ou même à décaler leurs vacances. Motif : mieux pratiquer le ramadan.
Bin oui. Ces famillles, “très religieuses”, au point de pratiquer le ramadan, fuient leur pays d’origine, musulman, parce que le ramadan y est… trop dur en été.
Il fait très chaud, donc c’est plus dur de ne pas boire dans la jouréne, et en plus le contrôle social est impitoyable : tout le monde fait le ramadan, donc vous ne pouvez pas tricher.
En France, il fait moins chaud, et on peut tricher.
Voilà en quoi consiste la formidable religiosité de nos amis musulmans “pieux”, “croyants” et “pratiquants”.
L’hypocrisie est une clé fondamentale pour comprendre le monde musulman. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le Coran est rempli d’accusations d’hypocrisie à l’égard des Juifs et de chrétiens, et si ce mot revient sans cesse comme une insulte dans leur bouche. Inversion accusatoire classique.
C.B.
A l’attention de Martin
Si j’ai bien compris le fonctionnement de la “finance islamique” (mais je ne suis ni juriste ni spécialiste bancaire), le principe est ouvertement: “pas d’intérêts”. Vous avez besoin d’un prêt pour acheter X; la “finance islamiste” l’achète pour vous, et s’engage à vous le revendre à une date ultérieure. La transaction est, disons pour faire simple, de 1000 euros pour l’achat de ce X. Quand vous le rachèterez (dans deux ans, pas dans deux cents ans), le coût sera 2000 euros.
Il n’y a pas d’intérêts, il y a une différence entre le prix actuel et le prix ultérieur. “L’honneur est sauf”?