Hier, dans le Libre journal de l'indépendance du 4 novembre sur Radio Courtoisie à 12h, présenté par Alain Bournazel, Gabrielle Cluzel, a évoqué "le réveil de
la France bien élevée" vers 5 à 8 min (intégralité de l'émission ici) :
"LMPT n'était qu'une répétition, une
mise en place, un comptage, une organisation, (…) le premier résultat
énorme c'est que la France bien élevée s'est décomplexée, avant elle
était un peu le Poil de carotte de la société française, même elle ne
s'aimait pas, aucun analyste de la vie politique n'a été capable de
prédire ce mouvement car tout le monde se disait cette France là, des
petites fourmies industrieuses qui ne fait pas parler d'elle ne sera pas
capable de se soulever et elle ne croyait pas en elle.""Au début de LMPT : on disait à
cette France un peu catholique, Lequesnoy, bien peignée, première de la
classe, n'arrivez pas en ayant l'air trop coincé, (…) ils l'ont accepté
parce qu'ils ne croyaient pas en eux, et d'un coup ils se sont comptés,
c'est un point de non retour, un point de départ".