Rien ne change et rien ne changera. Une nouvelle opération de rapatriement a eu lieu dans la nuit de lundi à mardi. Des femmes et leurs enfants, jusqu’ici détenus dans le camp de prisonniers djihadistes de Roj situé dans le nord-est de la Syrie, sont sur la base aérienne militaire de Vélizy-Villacoublay. Une pure folie. Le renseignement français considère cela comme des bombes à retardement. Quand elles exploseront, les responsables politiques et les journalistes prendront leurs airs surpris :
La France a procédé, mardi 4 juillet, au rapatriement de 25 enfants et de 10 femmes qui étaient détenus dans des camps du nord-est de la Syrie, a fait savoir le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué, ajoutant remercier l’administration du nord-est syrien pour sa coopération.
Les mineurs ont été remis aux services chargés de l’aide sociale à l’enfance (ASE), a indiqué le Quai d’Orsay, tandis que les adultes ont été remises aux “autorités judiciaires compétentes”.
Parmi les 25 mineurs, une jeune femme de 17 ans, faisant l’objet d’un mandat de recherche, a été placée en garde-à-vue indique de son côté le parquet national antiterroriste dans un communiqué. Parmi les 10 femmes majeures, âgées de 23 à 40 ans, “sept ont été placées en garde-à-vue en exécution d’un mandat de recherche et trois autres femmes, faisant l’objet d’un mandat d’arrêt, “seront présentées à un magistrat instructeur dans la journée”.
Antigone
Les responsables de ces “rapatriements” sont nos fossoyeurs. Ils auront notre sang sur les mains tôt ou tard.
lecer
Notre sang sur les mains ? Mais ils l’ont déjà et s’en foutent puisqu’ils veulent notre disparition, jusqu’au dernier. A nous de réagir comme il convient mais cela ne se fera que dans le sang. Il n’y a hélas plus d’alternative.
Antigone
Je veux dire par là qu’il faut s’attendre à des Bataclan/13 novembre ou 14 juillet niçois puissance 10. Tout est fait pour ça
Michel
C’est vrai qu’ils nous manquaient, ces “chances pour la France” : en Syrie, ils ont dû apprendre comment tout casser !
VIVANT
Le mouvement des banlieues perdues dans la misère idéologique de l’islam s’essouffle. C’est le moment de ramener des briquets pour raviver le feu.