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Culture de mort : Idéologie du genre

“La France en est carrément au Moyen Age pour le droit des trans”

L'offensive des idéologues du gender se poursuit avec l'entretien de l'avocat Emmanuel Pierrat dans Libération :

"ce mouvement trans est très divisé. Il y a beaucoup de chapelles et peu de monde. On considère que cela concerne au mieux 10.000 personnes donc, électoralement, cela veut dire zéro. Les revendications surtout peuvent varier selon les mouvement associatifs: sur la question de la psychiatrisation ou non, sur la question du changement de sexe par simple volonté ou par l'opération. Certains mouvements sont radicaux, ils veulent immédiatement la possibilité de choisir son genre ou une troisième case, sans passer par l'opération qu'ils assimilent à la stérilisation. Les autres considèrent qu'il faut y aller étape par étape. C'est très compliqué de prendre parti pour les uns ou les autres."

Etape par étape… C'est pourquoi on commence par l'enseignement obligatoire du gender à l'école. Le reste suivra de façon inéluctable si un coup de frein n'est pas donné.

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8 commentaires

  1. Dieu merci,au Moyen-Age,siècles de la courtoisie par excellence nul gueux ne se serait aventuré sans risquer d’être dûment châtié ,à tenter par exemple, de forcer quelque Dame et encore moins sage-femme à pratiquer des avortements sur autrui.
    C’est pourtant ce qu’ont tenté de faire il y a peu d’obscurs représentants de la présente barbarie.
    Dieu merci les malfrats ont été mis en échec

  2. Heureusement au Moyen âge on n’avait même pas les catégories intellectuelles pour imaginer ou se représenter ce qu’est un “trans” ou un “genre”, ni même un “Emmanuel Pierrat”.

  3. Pendant que l’on parle des droits des trans … le système financier est au bord de la faillite… A croire que nous sommes vraiment à la fin d’une civilisation…

  4. Il faut réhabiliter le Moyen âge et lutter contre les préjugés historiques rétrogrades.

  5. @ Sancenay & Luc C
    Tout à fait ! Pour qui s’y intéresse tant soit peu, le Moyen-âge n’a rien (pour employer une formule éculée) d’un âge moyen.
    Décidément, Jean a encore et toujours raison : c’est la Vérité qui libère. Le jour où l’Enseignement appliquera ce principe (en lieu et place des falsifications historiques ou des idéologies fumeuses présentées comme “vérités”), tous les hommes y gagneront.
    Corollaire (sous forme de question) : Qui est-ce, déjà, le ‘père du mensonge’ ?

  6. Moyen-âge, terme fabriqué pour insulter l’époque la plus grande de notre Histoire, la vraie, la seule, mais voilà, il y a un hic, avant cette soi-disant période, il y avait le paganisme, et après cette soi-disant période, il y eut la Renaissance… du paganisme.
    Cherchez l’erreur, mais demandez aux spécialistes du mensonge d’en préciser les dates, vous serez surpris de leur ignorance crasse.
    Soutenir tout le contraire de la Loi Divine, et vouloir les singeries des droits de l’homme (inverse du Décalogue), c’est être fou ou pervers.

  7. Bien d’accord avec tous ces commentaires! Au Moyen Age, on connaissait de grandes épidémies, mais pas la pandémie de sida mental qui sévit actuellement dans nos démocraties éclairées!

  8. @ BethShems:
    Ce n’est pas Jean qui a raison, c’est le Christ, car c’est bien lui qu’il cite en Jn 8, 32.

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