La Commission européenne a décidé de placer la France sous surveillance renforcée, après avoir une nouvelle fois épinglé son manque de compétitivité et le niveau élevé de sa dette.
La France sous surveillance renforcée
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6 commentaires
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RL
Pourtant la courbe du chômage s’est inversée, la confiance est là et le déficit sera à moins de 3% à la fin de l’année !
coco
On est pas dans la merde…. Cette fois c’est sûr, on fini comme la Grèce!
Magikbus
Ca n’empechera pas les kommissaires non-élus par les peuples de se goberger avec l’argent des francais qui travaillent ,au lieu de faire dons de leurs prébendes pour améliorer le budget national en France ?
Si la dictature UE n’a rien de mieux à proposer qu’immigration forcenée et extorqsions de nos économies pour enrichir les banksters usuriers sans frontières , au lieu de rester stupidement soumis à cette arnaque manipulatoire , virons l’UE de son ingérence contre nos interets .
La France aux francais d’abord ! abolition de l’UE, Schengen et Otan .Cessons de payer pour entretenir ces parasites nuisibles et inutiles aux peuples et nations en Europe .
Vive l’Europe des Nations Libres VENL !
DUPORT
Du grand n’importe quoi !
Nous avons une équipe de bras cassés et d’incompétents au sommet de l’État qui de toute façon ne fait strictement RIEN pour que quoi que ce soit aille mieux.
Le premier imbécile venu peut le voir et prédire la suite !
Daniel
Les experts européens ne voient pas d’inversion du chômage avant fin 2015 ni de retour à 3% de déficit avant la fin du quinquennat. D’où la mise sous surveillance qui est une procédure officielle où l’Allemagne va commencer par regarder, puis conseiller, puis imposer sa solution via le FMI.
Si la BCE augmente ses taux, dont tt le monde dit qu’il est trop bas, l’état va devoir emprunter à un taux plus élevé que maintenant, donc creuser encore le déficit. L’Etat a en effet besoin de remplacer l’argent qui n’entre pas sous forme de taxes (à cause de la stagnation du PIB et du grave déficit commercial) par des emprunts.
Si l’état français veut réduire le niveau de ses importations, pour compenser la faiblesse de ses exportations, il faut qu’il fasse acheter beaucoup plus hors zone euro, car l’euro atteint des niveaux de change très dangereux, donc qu’il affaiblisse la zone euro.
L’équation telle qu’elle est posée idéologiquement est insoluble.
Imaginez que nous ayons des deutsche Marks avec notre petite industrie sous-développée : c’est exactement le cas aujourd’hui avec l’euro.
Notre prof d’allemand égraine les réformes avortées, il a juste enfoui la réforme historique des impôts pour chevaucher celle du pacte de responsabilité dont tout le monde dit qu’il est mort. A quand la prochains réforme historique qui permettra de tenir in trimestre de plus ?
benoît
ça sent la banqueroute !