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La France va-t-elle interdire le 10 septembre, Journée Mondiale contre le Suicide, pour “délit d’entrave” ?

La France va-t-elle interdire le 10 septembre, Journée Mondiale contre le Suicide, pour “délit d’entrave” ?

Le suicide, c’est mal.

Le suicide assisté, c’est bien.

Les députés ont voté un délit d’entrave au suicide assisté.

En toute logique, les députés doivent interdire le 10 septembre, Journée Mondiale contre le Suicide. Tous les ans, nous passerons du 9 septembre au 11 septembre. Le but de la Journée Mondiale contre le Suicide :

plaider en faveur de politiques et de lois qui donnent la priorité à la santé mentale, augmentent l’accès aux soins et apportent un soutien à ceux qui en ont besoin.

« Changer le discours sur le suicide » : tel est le thème pour les trois années à venir de la Journée mondiale de prévention du suicide, qui a lieu chaque année le 10 septembre.

Créée en 2003 par l’Association internationale pour la prévention du suicide (IASP) en collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la Journée mondiale de prévention du suicide vise à attirer l’attention sur cet important problème de santé publique.

Les autorités alertent car le nombre de suicides augmente en France. Mais les politiques veulent plus de suicides… assistés.

À l’échelle française, plus de 9 000 décès par suicide – dont une majorité d’hommes, en particulier de plus de 45 ans – ont été recensés en 2022.

La santé mentale est classée “Grande cause nationale 2025”. En 2023, plus de 90 000 personnes ont été hospitalisées pour un geste auto-infligé (tentative de suicide ou auto-mutilation) en France, soit une hausse de près de 3 % par rapport à 2022 d’après un bilan de Santé publique France publié le 12 mai 2025. Cette hausse a été particulièrement portée par les femmes, chez qui le taux d’hospitalisation pour geste auto-infligé a connu une “nette hausse” de 10 % par rapport à 2019, avant la pandémie.

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2 commentaires

  1. L’influence de la partie luciférienne des francs-maçons se devine dans cette loi mortifère. Une de plus.
    Plusieurs témoignages de transfuges de la secte maçonnique nous apprennent qu’environ 1/4 à 1/3 des initiés du 32° degré, le plus élevé, sont dans une démarche de religion luciférienne. (Il méprisent les satanistes car Satan serait un démon inférieur à Lucifer !)
    Ces pervers, que l’o retrouve à l’occasion dansles orgies pédocriminelles, souhaitent donc offrir des sacrifices humains, avortement, euthanasie, suicide.
    La peur, le désespoir, la haine, l’égoïsme, le désir de pouvoir, antinomiques aux vertues chrétiennes de Foi, Espérance, et Charité, sont recherchés lors des sacrifices.

    N.B : le luciférianisme ne toucherait que 2 obédiences maçonne sur 5 en France, et une minorité de francs-maçons dans ces 2 obédiences. La majorité d’entre eux sont donc simplement manipulés.

  2. La République aime la mort, depuis sa naissance .

    “Satan est homicide et menteur depuis le Commencement” st Jean.

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