Intéressante prise de position de Jean-Pierre Winter, psychanalyste, dans le Point de la semaine dernière, notamment sur les conséquences d'une GPA pour l'enfant. L'article n'étant pas accessible en ligne, on se contentera de deux formules qui font mouche :
"Pour essayer de se représenter ce qui, peut-être, adviendra, pensons au déni de grossesse. Si ce déni est généralement inconscient, dans le cas de la GPA nous aurions affaire à un déni qui serait non seulement conscient, mais éventuellement cautionné et légalisé par la société."
"Le cas de Gammy, du nom de cet enfant trisomique dont les parents d'"intention" australiens ne voulaient plus (…) en dit long sur la possibilité d'une GPA éthique, impossible à mettre en place et aussi farfelue qu'un esclavage déclaré éthique parce qu'il admettrait certaines règles."
RH
Une broutille, comparé au “mariage homo”, THE oxymore parmi les oxymores…