Les juges de la Cour suprême à Londres viennent de se prononcer pour une clarification de la loi concernant le suicide assisté. C'est ce que réclamait Debbie Purdy, femme de 46 ans, souffrant d’une sclérose en plaque, et souhaitant mourir (en Suisse, avec l'aossiation Dignitas) en présence de son mari. Or, en vertu de l’actuelle loi britannique, son mari risque une peine de prison s’il aide sa femme à mettre fin à ses jours, même à l'étranger.
La Grande-Bretagne vers l’euthanasie ?
2 commentaires
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Henri
Ce ne sera pas une “clarification” de la loi mais un obscurcissement ,une confusion réelle
Sancenay
Il faut être bien conscient que tant que l’imposture de la “philosophie dite des lumières ” dominera le monde de la pensée et le monde tout court, celui-ci continuera de basculer par pans entiers dans le camp de l’euthanasie.
Ceux qui prétendent le contraire en ergotant sur des “moins pires ” que d’autres, au nom de je ne sais quelle science justiciaire toute pharisienne, jouent objectivement en cela les idiots inutiles.C’est ainsi.
Et quelques philosophes cathodiques savent qu’en disant cela , il est difficile de ne pas songer à eux et à leurs amis “moins pires”.
Tous seraient bien inspirés de se rendre compte en temps utile qu’ils auront de sérieux comptes à rendre à ce sujet dans l’au-delà.
Nous ne pouvons que leur souhaiter, pour le bien de l’humanité , comme pour le leur, de se ressaisir à temps.