Lu dans Les 4 Vérités :
L’opération «Mon journal offert», prévue pour assurer la promotion de la presse quotidienne, devrait permettre de renouveler en 2010 ce qui s’était passé en 2009: 212 000 jeunes de 18- 24 ans (soit 7 % de la tranche d’âge) avaient reçu un abonnement à l’un des 59 quotidiens nationaux, régionaux ou départementaux partenaires ! Petit « détail » : cette opération de promotion va coûter en 2010 la bagatelle de 10 millions d’euros, dont la moitié sortira de la poche des contribuables…
C.B.
N’y aurait-il pas là une “niche” à râcler?
La Gueuse
Présent n’y est pas … en revanche, pour l’Huma, l’Immonde ou Le FiGarou, pas de problèmes!
La République me fait vomir.
pierre
Et dans l’expérience de l’année dernière, quel pourcentage s’est, in fine, abonné en payant à l’un de ces journaux ?
JB
J’avais fait une demande et je reçois encore pour quelques semaines La Croix gratuitement !
Il n’y a pas de raison que ce soit toujours les mêmes parasites qui en profite ! Alors merci à vous et vos impôts!
AMarie
à JB : vous ne faites pas votre âge (18/24 ans ) ….
Robert
En revanche, chacun sait qu’internet et tous ses blogs se sont faits du jour au lendemain, sans utiliser aucune infrastructure publique, comme les lignes de France Telecom ou l’électricité d’EDF…
François
A CB, il ne tient qu’à “Present” de proposer une offre au gouvernement, ce sont les journaux qui décident ou-pas de bénéficier de cette offre pour se faire connaître des jeunes.
A la Gueuse, 15% des jeunes ayant bénéficié de cette offre l’année dernière se sont abonné cette année(j’en fait partis).
A l’auteur, le but de cette offre est de relancer le marché de la presse écrite auprès des jeunes. Les nouvelles générations lisent beaucoup moins la presse que les anciennes. Cette politique économique a aussi pour but de relancer l’économie à moyen terme. Et pour une fois qu’on offre quelque chose d’intéressant aux jeunes, ne crachons pas dessus. Recevoir “La Croix” chaque semaine, un journal que je ne lisais jamais auparavant, m’a beaucoup enrichis personnellement.