Ce qu’elle ne sait pas faire contre les voyous du quotidien, systématiquement relâchés, après 15, 18 ou 32 procédures, le justice sait très bien le faire contre l’un des siens… Le juge des libertés et de la détention (JLD) Charles Prats, connu pour son engagement politique à l’UDI, ses propos décomplexés et ses ouvrages contre la fraude sociale, a été sanctionné par le Conseil supérieur de la magistrature. Son avocate Caroline Wassermann dénonce dans Marianne une procédure « politique » et envisage un recours au Conseil d’État.
Le Conseil supérieur de la magistrature a prononcé sa mutation, lui reprochant notamment d’avoir « manqué (à ses) devoirs» et porté « atteinte à l’image de la justice » suite à plusieurs tweets dans lesquels il comparait par exemple les casseurs et antifas des cortèges de gilets jaunes à une « peste noire » ou un tweet dénonçant « le totalitarisme climatique (qui) vous poursuivra jusque dans la mort ».
cadoudal
“pas de liberté pour les ennemis de la Liberté”
“pas de liberté pour les ennemis de la Propagande maçonnique”.
çà fait 230 ans que cela dure.
Magistro78
Même s’il a mille fois raison sur le fond, en tant que magistrat il aurait dû s’abstenir de ces petits plaisirs égoïstes car le sujet de la fraude est terriblement majeur et exige que celui qui le porte évite de se faire avoir sur un enfantillage pareil.
On va le muter à Mayotte à la cour du droit d’asile !
LANASPRE
UNE SEULE REPONSE: Fermeture de l’Ecole Nationale de la Magistrature,usine à produire des Kapos à la solde de la gauche.
Quousque tandem abutere??