Le président letton Valdis Zatlers a déclaré à Riga que l’Union européenne devait condamner les crimes du nazisme comme ceux du communisme.
"Les pays de l’UE ont souffert dans la même mesure du nazisme et du communisme, mais la première idéologie a été condamnée, alors que l’autre ne l’a jamais été".
Le chef du gouvernement letton, Ivars Godmanis, a soutenu le président du pays, signalant que les questions liées à la "condamnation de l’idéologie communiste" feraient l’objet de discussions aux prochains sommets de l’Union européenne à Vilnius et à Bruxelles.
Dans l’encyclique Divini Redemptoris, Pie XI avait affirmé :
"Le communisme est intrinsèquement pervers, et l’on ne peut admettre sur aucun terrain la collaboration avec lui de la part de quiconque veut sauver la civilisation chrétienne."[n°58]
senex
La Bête n’est pas morte,loin de là.Le “pouvoir d’achat”étant le mobile essentiel de l’Europe post- chrétienne,la Bête n’a rien à craindre.Nous leur achetons la corde pour nous pendre.Business is Business…
BOGOMIR
On nous parle souvent des crimes de Staline, mais ceux commis du temps de Lénine n’ont rien à leur envier!
Cependant, l’URSS des derniers temps n’avait plus grand chose à voir avec celle du début.
Je me demande même si, pour l’avenir du monde, une URSS de Gorbatchev n’était pas moins dangereuse qu’une Amérique de Bush!
Exupéry
Comme le matérialisme occidental ne veut pas reconnaitre le véritable Mal transcendant, celui qu’a vaincu le Christ au désert et sur la Croix, alors (pour mieux sacraliser sa tour de Babel) il est obligé d’absolutiser un des maux de ce monde. Et, bien sûr, ceux qui se sont affrontés à ce mal, comme le communisme ne sauraient être intrinsèquement mauvais ils ont simplement commis des erreurs ! C’est algébrique: (-)x(-)=(+), la morale laïque est binaire!
Nous sommes là aux antipodes de la morale chrétienne, si bien résumée par cette sentence de St. François de Salles: “La frontière entre le bien et le mal passe par mon coeur”.