Le libertaire Le Monde raconte l’histoire du premier film pornographique, dans une version largement mensongère. Linda “Lovelace” Boreman a en effet tourné ce film sous la contrainte de son ex-mari, comme elle le racontera plus tard. Mais l’article préfère donner la parole au réalisateur qui raconte à quel point elle était triste à la fin. Le Monde souligne même que l’humour de ce film, alors que Chuck, son mari, qui la battait régulièrement, la menaçait avec une arme pour qu’elle tourne. Son cachet de 1 250 dollars fut confisqué par son mari. Les féministes interrogés trouvent même ça “hilarant”. En 1986, témoignant devant le Congrès des dangers de la pornographie, Linda a déclaré :
“A chaque fois que quelqu’un regarde ce film, il me voit me faire violer”.
Les anciens “acteurs” masculins minimisent ou nient les paroles de Linda. Ce serait reconnaître avoir participé à un viol. Mais Larry Flint déclare dans un article de 2015 :
Linda Lovelace est devenue ensuite porte-parole du mouvement anti-pornographie. Mais cela Le Monde ne l’écrit pas non plus.
Gaudete
Mais l’immonde se garde bien de dire la vérité, c’est d’ailleurs sa spécificité le mensonge alors rien à attendre de ce torchon. Quant aux féministes interrogées elles trouvent ça hilarant, non mais on croit rêver, un pois chiche à la place du cerveau
Classico
Et après ces journaux nous font des articles en continu sur le sexisme et l’égalité homme femme !
Michel
Voilà bien l’Immonde, journal puritain de désinformation gauchiste, moraliste façon Tartuffe, qui cache mal sa misogynie machiste au prix du mensonge par omission, sa spécialité et même sa spécificité…