Les défenseurs du "pluralisme" qui s'élèvent contre la "censure" sont les fossoyeurs de la culture. Ils souhaient avilir, salir, dégrader. Dans la veine du très intellectuel "Tous à poil", une série d'ouvrages destinés aux enfants (et à leur rééducation) abaisse le niveau sous la culotte. Ainsi en est-il du livre "Le jour du slip" d'Anne Percin et Thomas Gornet qui raconte comment une petite fille se réveille un matin avec un zizi (quelle imagination) :
"Pour enlever mon bas de pyjama, j'ai l'habitude de faire glisser mes mains entre l'élastique et la peau. Mais cette fois, ça accroche. Sous mes doigts, là où d'habitude il n'y a qu'une toute petite bosse de peau douce, maintenant, il y a… un zizi! Je sursaute comme si ça allait me mordre- et paf ! […] Le pire, c'est que j'ai très envie d'aller au W.-C. Je me dis que c'est peut-être un moyen de me réveiller: en faisant pipi. Des fois, ça marche. Tant pis si je mouille le lit, ce sera toujours mieux que ce qui m'arrive. Mais, assise à califourchon sur la lunette des W.-C., je comprends que je ne rêve pas. Je suis en train de m'arroser copieusement les cuisses et il y a une petite mare sur le carrelage. – Mais c'est quoiiii, ce truc? Le pipi sort de là comme d'un tuyau d'arrosage, c'est pas compliqué: y en a partout! Le pire, c'est que ça ne tient même pas tout seul! Je croyais que c'était comme un parapluie, un zizi: on le sort et hop, on le déplie. Eh ben, en vrai, on est obligé de le tenir avec ses propres doigts! Au secours !"
Au secours en effet…