Jusqu’à la neuvième semaine de grossesse. Une mesure critiquée par Virgilijus Rudzinskas, membre du conseil d’administration de la Fédération mondiale des médecins.
Avant d’y avoir recours, les femmes devront consulter un gynécologue-obstétricien. Ce dernier doit fournir les informations sur la procédure et proposer l’aide d’un assistant social ou d’un psychologue avant de prescrire le produit à la femme qui souhaite avorter. Inscrits sur « la liste des médicaments essentiels » de l’OMS, ils seront disponibles en pharmacie. Le pharmacien ne pourra pas refuser de délivrer la substance prescrite.
Plus de 2 700 avortements ont été pratiqués en Lituanie en 2021.