Alors que Nicolas Sarkozy promet un nouveau texte punissant la négation du génocide arménien en cas de censure constitutionnelle, Nouvelles de France se demande si une censure constitutionnelle pourrait sonner le glas des lois mémorielles dites aussi "liberticides", comme la loi Gayssot notamment :
"En ce prononçant sur la pénalisation de la négation du génocide arménien, le Conseil constitutionnel va, indirectement, se prononcer sur la constitutionnalité de la loi Gayssot qui, si elle concerne un autre génocide, a néanmoins une structure juridique similaire à la loi pénalisant la négation du génocide arménien. Elle pourrait être invalidée si une question prioritaire de constitutionnalité était soulevée devant les Sages. C’est paradoxalement l’adoption d’une loi pénalisant la négation d’un génocide qui va peut-être contribuer à censurer toutes les lois du même type, si toutefois la loi sur le génocide arménien est déclarée inconstitutionnelle."
Boris
La véritable information ne serait-elle pas plutôt de l’habituel faire/défaire de Sarko ?
Il crie sur tous les toit qu’il a fait la loi en rapport avec le génocide arménien, et dans le dos de tous sauf de la Turquie, il défait encore une fois ce qu’il a fait !
Il y a 20 ans, on entendait que Chirac défaisait ce que la Gauche avait fait.
Maintenant c’est la droite qui défait ce qu’elle a fait elle-même soit dans l’année, soit maintenant dans le mois qui suit !
Mina
Il faut surtout comprendre que la nouvelle loi, concernant théoriquement tous les génocides, a pour but essentiel de bétonner la loi Gayssot, en mauvais point ces derniers temps.
Saint-Plaix
“Tout ce qui est excessif est insignifiant”…Cet adage de Talleyrand trouve encore une fois son illustration…
Le matraquage idéologique auquel est soumis le peuple français trouve ses limites et certains élus moins bovinisés que d’autres comprennent le danger d’un système d’encadrement étatique de l’opinion…
Il est évident que la récente loi dite mémorielle A TORT considérée comme déposée et votée “pour” le génocide arménien ne vise en fait qu’à sanctionner ceux qui iraient contredire aussi peu que cela soit les termes dogmatisés des génocides reconnus par l’état!
On est sûr ainsi que le populicide vendéen, voulu, systématisé et glorifié par la république naissante ne recevra jamais l’agrément voulu: ce serait bien trop embarrassant pour l’image républicaine de “fille des lumières”…avec ses “valeurs de tolérance”, bla bla..bla bla…
Le génocide arménien est “agréé” maintenant par l’état républicain…
Mais il est encore plus clair, pour celui qui veut bien lire entre les lignes, que le but du jeu est de renforcer – si c’est encore possible – les sanctions à l’égard des révisionnistes de la shoah, quand l’immonde loi Gayssot trouve ses limites…
Là est la vraie question!
Et Sarkozy dont on connaît les “sympathies ethniques” l’a parfaitement compris!
Le recours, contre la loi mémorielle qui vient d’être votée, est effectivement un espoir pour parvenir à faire balayer la loi Gayssot…
Savoir si la classe politico médiatique est suffisamment adulte pour comprendre qu’on ne peut sans risque – même en France – confondre endoctrinement forcé et information historique…L’avenir le dira…
Car si certains peuvent s’interroger sur les conséquences du négationnisme, il faut bien quelque part souligner que le révisionnisme est par nature la démarche scientifique normale (applicable évidemment à l’Histoire) dès lors que des éléments nouveaux sont découverts ou divulgués (les registres des camps par exemple!)
L’avenir dira si la France restera sous le joug de “l’insupportable police juive de
la pensée” comme l’a dénoncé avec courage et lucidité Annie Kriegel née Becker, historienne et journaliste juive alsacienne, spécialiste de la désinformation communiste et soviétique, après avoir été résistante et membre du PCF…
D’autres figures intellectuelles juives, à commencer par BHL, référence médiatique à défaut de philosophique, se sont levées depuis des années pour dénoncer les risques d’une dogmatisation qui va à l’encontre parfois de la réalité des faits et finira fatalement par générer un sentiment opposé au but recherché…
Ainsi sous peine d’anathème et de poursuites impitoyables devra-t-on continuer à dire et à enseigner que Katyn est l’œuvre des nazis (quand il est établi sans l’ombre d’un doute que ce fut l’œuvre des suppôts de Staline)
ou bien que 4 millions de juifs sont morts à Auschwitz quand les plaques officielles placées à l’entrée du camp ne comportent plus, depuis des années, que le chiffre d’un million et demi et que nombre de journalistes juifs écrivent aujourd’hui communément à longueur d’article, que “environ un million de personnes majoritairement des juifs, mais pas seulement, périrent là” comme je l’ai encore vu écrit il n’y a pas longtemps dans un article d’une revue judaïque.
Le conditionnement idéologique fait-il partie des valeurs nouvelles prônées par la république?
UBU serait-il en passe d’entrer au Panthéon?
Sylvie
Ce que je constate ici, c’est le fait que l’on dénonce une loi qui n’a plus lieu d’être et d’exister. Je parle bien sûr de la loi Gayssot qui réprime la libre expression, la préférence nationale et porte atteinte à la liberté de conscience.
J’espère qu’un jour on pourra parler sans problèmes du génocide vendéen comme étant le premier crime contre l’humanité avant les Turcs, les nazis et les communistes.
Il faudrait demander la reconnaissance du génocide vendéen et le masquage des noms des deux chefs de colonnes infernales sur l’Arc de Triomphe de l’Etoile. Car retirer leurs noms serait difficile du point de vue éthique. Un voile noir bien collé montrerait à l’opinion publique internationale qu’il a existé des individus capables de tuer l’humanité au berceau… et cette humanité était vendéenne !
Amey et Turreau ont inspiré les SS dans leurs folies destructrices des peuples européens ; n’oublions pas non plus le concept racial des révolutionnaires de 1793 qui définissaient les Vendéens comme une “race maudite” à exterminer, mais aussi utilisaient le terme de “races inférieures” en évoquant les Juifs et les Vendéens… Les révolutionnaires de 1793 sont les pères spirituels du nazisme, car il est indispensable de le citer, l’Arcona un bâteau soupe allemand a été utilisé sur la Baltique pour noyer des juifs, des chrétiens et des prisonniers de guerre ex-soviétiques. Carrier a inspiré Goering et Himmler…