C'est le constat de Luc le Vaillant dans Libération :
"[…] Il n’y a aucune raison que le couple en duo et la famille nucléaire
survivent à cette nébulosité des comportements qui s’agglomèrent et se
dispersent comme les gouttelettes grisâtres des nuées sans prince.
François Hollande, président jamais marié, à la fibre sociétale
sous-développée, serait bienvenu de préparer le pays à cette évolution.Le couple traditionnel est souvent une entité immobilière. Il faudra
adapter la fiscalité des SCI ou la rédaction des baux des colocataires
pour que «2» ne soit plus l’unique chiffre accepté et que la tribu, le
trio ou le chacun chez soi puissent prospérer. Pourquoi les belles
quadras du dernier film d’Anne Fontaine ne pourraient trouver à se loger
avec leurs fils et amants ? […]"
Bertrand
A vomir !
Yves L.
Il est évident que c’est l’idée :
Traduction d’une chronique de Mark Steyn de la semaine passée publiée dans l’Orange County Register
Le mariage homosexuel ? On a abordé le sujet en Australie l’an dernier, et l’éminent politicien australien à ma droite me dit alors d’un ton neutre : « Il ne s’agit pas d’étendre le mariage, il s’agit de détruire le mariage. »
C’est certainement l’explication la plus plausible qui permet d’expliquer pourquoi les mêmes groupes sociaux qui nous ont assuré dans les années 70 que le mariage était (a) un « bout de papier dénué de tout sens » ou (b) un viol institutionnalisé soutiennent aujourd’hui qu’il s’agirait d’un droit de l’homme universel.
http://www.xn--pourunecolelibre-hqb.com/2013/04/mark-steyn-sur-le-mariage-homo-et-la.html
Malloy
C’était déjà annoncé lors des manifs de cet hiver avec des pancartes “Jusqu’à l’abolition du mariage, égalité des droits”.
Pascal
curieux que LGBT ne conteste pas le “mariage” pour tous” ; en effet dans LGBT il y a B comme bi . Ors cette loi ne prévoit pas au bi de pouvoir “épouser” la femme et l’homme dont il est “amoureux” ; cette loi est donc biphobe (waoouh !je viens de créer un nouveau mot ,ou maux… )et donc que son instigatrice est une raciste qui refuse le progrès et qui exclue toute une catégorie de personnes.
TAUBIRA RACISTE !!!
tout çà pour dire que lorsqu’on reprend leur mode de pensée on sombre immédiatement dans un délire , dans leur délire .et ils gouvernent !
Milan
Le “bi” ne pourrait (pour l’instant, car la polygamie est inéluctable, eu égard au seul fondement du futur “mariage”, “l’amour”, en fait la sexualité) épouser ses partenaires de sexe différent en même temps, mais l’un après l’autre (comme 2 lesbiennes en ménage institutionnalisé peuvent enfanter l’une après l’autre, voire ensemble, ou deux invertis hommes, via 2 utérus mercenaires, voire le même – existe déjà). Le lien juridique envisagé : adoption de l'”enfant du conjoint”. Que de “progrès” !
C.B.
L’article en lien (daté 1 avril 2013 à 19:06) pose de vraies bonnes questions:
“A quoi sert-il de solenniser un serment d’exclusivité qui sera trahi par 50% des contractants ? Pourquoi croire à l’éternité de sentiments qui ont une date de péremption prévisible ? Pourquoi s’engager à se porter «secours et assistance» quand tout cela se finira en pugilats acrimonieux sur le montant de la prestation compensatoire ? Pourquoi refuser d’admettre que la tendance s’avive qui voit un enfant sur deux naître hors mariage, un sur cinq vivre dans une famille monoparentale et un sur neuf dans un foyer recomposé ? ”
Et l’un des commentateurs apporte une bonne conclusion:
Supprimons le mariage civil
(et j’ajouterais: et en particulier son obligation avant un mariage religieux)
Maye
C’est le jeu, ma pôve Lucette : “un hétéro, une balle. Une famille, une rafale.” Il faut prendre au pied de la lettre ce qu’ils nous disent, c’est le fond de leur pensée.
Et logiquement, comme l’adoption, la PMA et la GPA, le reste suit.
Mais ce reste n’est pas tout : on rigolera moins quand cette génération de sauterelles sera rendue au bout et qu’il leur faudra trouver de l’aide pour finir leurs vieux jours. Nous n’avons pas fini de payer la note.
Guizmoet
C’est comme ça en France…
Certains enfants n’ont pas les capacités de passer leur bac ni de faire des études supérieures? Au nom de l’égalité, niveau scolaire ras des pâquerettes pour tous!
De plus en plus de couples ne sont plus capables (c’est un constat, il n’y a pas de jugement de valeur dans mon propos) de faire durer leur mariage, pour des raisons diverses? Qu’à cela ne tienne, au nom de l’égalité, plus de mariage pour personne.
Ceux qui veulent l’abolition du mariage ne sont que des frustrés qui sont incapables d’avoir une vie conjugale sereine, fidèle et durable, et qui veulent le faire payer aux autres…
Judith
Guizmoet, oui. En bon français, j’appelle cela de la jalousie, une jalousie de la plus basse extraction.