L’hebdomadaire a osé publier une enquête peu reluisante sur la gestion municipale :
Loïc Gachon aurait-il un problème avec la contradiction ? Le maire socialiste de Vitrolles (Bouches-du-Rhône) n’a en tout cas pas apprécié notre enquête sur son accablante gestion municipale, entre conflits d’intérêts, entrisme islamiste et harcèlement sexuel, publiée dans notre édition de la semaine dernière (n° 4538). De Vitrolles à Marignane en passant par Rognac, aucun numéro de Valeurs actuelles n’était disponible dans les kiosques le jour de sa parution.
« Ce matin, quelqu’un est venu en acheter cinq d’un coup », témoignait un kiosquier. Selon nos informations, la manœuvre est à imputer à la Mairie de Vitrolles, où une « réunion de crise » s’est tenue dans la foulée pour savoir comment réagir à notre article. Pas de la meilleure des façons visiblement.
Vladu
J’imagine que tous les journalistes, unanimes, se sont précipités pour dénoncer ces attaques contre la liberté de la presse.
N’est-ce pas “Le Monde” ? N’est-ce pas “France-Inter” ? N’est-ce pas “France 2” ?
Ah non ?
La “liberté de la presse” ne vaut que pour les complices du Pouvoir (subventionnés par lui) ?
Rappelons quand même, au passage, que le Sévice public de radio-télévision nous coûte chaque année la bagatelle de quatre milliards…
Quatre milliards !
Un chiffre que l’on ne répète pas assez.
cadoudal
Il ne faut pas s’ attaquer aux portes flambeaux des valeurs sacrées de la République;
on est vite diabolisé.
Meltoisan
Ne Gachon pas notre plaisir et ne faisons pas la fine Bouche ; ce ne sont pas des attaques au Vitrolles mais une simple enquête. Loïc, c’est que ça se vend comme des p’tits pains.
jlmont
me rappelle un incident du même tonneau a Ribérac avec le canard enchainé introuvable juste après la parution d’un article dénonçant “le zizou de la Dordogne”, Bernard Cazeau, qui avait accueilli le journaliste avec un coup de boule (réel). nous avons précieusement conservé le numéro