Interrogée sur BFM, une des jeunes femmes militantes ayant perturbé le meeting d’Eric Zemmour semble avoir été manipulée et envoyée au casse-pipe par les responsables de SOS Racisme. Les journalistes semblent enfin se reprendre après 24 heures d’égarement :
Marcos
Comme vous dites : “elle a été envoyée au casse-pipe”. Lui avait-on dit qu’une deuxième équipe, une équipe de casseurs, lui tomberait dessus au cours du meeting. Déployer des banderoles, c’est du classique. Je me souviens d’un discours de JMLP à l’Opéra, devant la statue de Jeanne d’Arc, perturbé par des opposants à banderoles grimpés sur le toit de l’édifice. Le service d’ordre et les forces de police avaient fait leur boulot. Là, l’élément nouveau, c’est le commando de casseurs, parfaitement entraînés, largement récidivistes, jamais inquiétés par la police. C’est l’un d’entre eux qu’il faudrait interroger et pas cette malheureuse fille qui n’a rien compris. Faire taire Zemmour … ou seulement brouiller son message. That is the question.
Gaudete
Non mais sans blague elle fait partie de cette assos gavée de l’argent des contribuables et elle n’est pas au courant! soit elle n’est pas normale, soit elle est au courant et comme tout gauchiasse qui se respecte elle ment effrontément
Oncle-Donald
Des journalistes…
Je crains que la majorité n’en parle pas…
CesarevitchAlexei
Le plus scandaleux c’est que les têtes pensantes (encore qu’on peut se demander parfois si ces gens-là pensent) du mouvement aient envoyé cette petite conne au casse pipe a la fois a Villepinte et a BFM TV. Honte a eux !
F. JACQUEL
Éternel engrenage de la gauche (et des musulmans) :
Provocations -> répression -> victimisation
Pour avoir été Casque bleu à Sarajevo il y a 25 ans, je peux attester de ce mode de fonctionnement que je retrouve de plus en plus en France.
Déjà, en mai 68, un gauchiste lançant un pavé sur un CRS, c’était de la contestation. Le CRS, évitant le pavé, puis le relançant sur le gauchiste, c’était de l’horrible répression.
En résumé : une vieille tradition française.