"M. Soros a financé, ou a entretenu d'étroites relations avec au moins 56 « partenaires » de la marche. Il s'agit, entre autres, de Planned Parenthood et du Conseil national de défense des ressources, structures connues pour leur opposition intransigeante envers le nouveau président des États-Unis Donald Trump, ou de MoveOn.org, organisation « farouchement pro-Clinton », et le National Action Network, salué par l'ex-locataire de la Maison Blanche Barack Obama.
D'autres « boursiers » de M. Soros parmi les « partenaires » de la marche sont l'Union américaine des libertés civiles, le Centre pour les droits constitutionnels, Amnesty International et Human Rights Watch (HRW).
Quoi qu'il en soit, la plupart des Américains savent bien que la marche n'est vraiment pas une « marche des femmes », mais une marche en faveur des femmes anti-Trump. On se souvient par ailleurs des propos tenus récemment devant les journalistes à Davos par le philanthrope idéologique et donateur politique George Soros sur Donald Trump, un « dictateur éventuel », selon lui. Malheureusement, la marche a pris position et les « femmes » ont été utilisées pour une journée explicitement anti-Trump, constatent les observateurs."