Business is business.
La politisation des entreprises est la marque des régimes totalitaires
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PierreMontamat
‘Les affaires sont les affaires’ un peu court à commenter comme article, mais en effet, et cela ne date pas d’hier car les syndicats et les patrons s’y emploient depuis des décennies…
Le point franchi actuellement c’est effectivement l’application fidèle des injonctions de l’Etat dans les domaines de l’égalité femme/ homme, la ligne LGBT…, le travail des femmes, mais aussi le télé-travail, les politiques salariales, l’inclusivité, la transition écologique, l’accueil du migrant, mais aussi le vol ou le détournement de biens sociaux, la dénonciation et la corruption, les conflits d’intérêts, etc… bref, tout ce qui fait le conformisme de la vie sociale, notamment par l’imposition de quotas. La pression économique fabrique (après l’Education nationale qui a fabriqué des crétins) des bons petits moutons habitués à obéir bien gentiment, sauf à en rajouter pour avoir de la promotion.
L’entreprise est en effet fortement mobilisée sous la direction des patrons eux-mêmes soumis, notamment dans l’application des règles sur les conditions de travail, sur la fiscalité, … Patrons et salariés sont donc des acteurs consentants, à l’instar de la fonction publique. La planification et la réglementation étatiques sont les vraies contraintes intériorisées dans une société française qui est de plus en plus une société de service dans laquelle le ‘suivi’ ou traçage est la norme pour notre vie plus facile et heureuse bien sûr.
Une chose à signaler, c’est la tendance à préparer les mentalités à prendre ses distances avec la propriété personnelle. J’entendais un reportage hier sur Fance-Info nous poussant à cela. Les acteurs de tous les niveaux sont très conscients et impliqués sur cette dépossession qui arrive, notamment au nom de la solidarité. Avec le prêt, on est plus libres, et l’on nous explique à longueur de temps et depuis de nombreuses années (Coluche !) qu’il y a de plus en plus de pauvres à aider. Sans permettre à ces pauvres de s’en sortir par une politique d’aides de plus en plus intrusive. Les héritiers, rentiers, possédants et autres sont dans le viseur depuis des générations. On y arrive : la suppression de la propriété (notamment par le revenu universel) va remédier à tout nos maux ! Qu’on se rappelle aussi les comptes ‘chypriotisés’.
Il faut noter le rôle fondamental des associations dans ce processus d’assistanat et d’asservissement, il n’y a pas que les entreprises. J’entendais ce matin le directeur de la Fondation Abbé Pierre sur le sujet. On est déjà dans le socialisme. Et dire qu’il y en a qui croient encore qu’il y ait un seul candidat qui prenne en compte réellement ces problématiques : on croit rêver !
NB : Ce qui vaut pour la société civile vaut aussi pour la vie dans l’Eglise (euh, …), dans cette soumission abrutissante à César. On empêche peu à peu l’Eglise d’appliquer ses lois propres dans le culte (mesures Covid) et bientôt dans le confessionnal… Les ministres du culte sont fonctionnarisés peu à peu… Ce qui s’ajoute à la fonctionnarisation et bureaucratisation interne qui s’intensifie avec François… Le rejet de la ‘doctrine’ (pouah !) est un vecteur puissant d’abêtissement des fidèles…
Bon, veuillez excuser la longueur de ce commentaire, mais c’est sorti spontanément.