Le groupe parlementaire Renaissance dépose ce jeudi les textes qu’il veut défendre lors de sa niche parlementaire fin novembre.
La proposition de loi constitutionnelle d’Aurore Bergé pour inscrire le droit à l’avortement dans la Constitution figurera bien en première position. Elisabeth Borne avait soutenu l’initiative prise fin juin par la présidente du groupe après la décision de la Cour suprême des Etats-Unis de ne plus reconnaître le droit à l’avortement au niveau de l’ensemble des Etats.
cadoudal
priorité : la mort, la grande valeur de la République.
D'Haussy
Liberté égalité fraternité mort
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b6950388m.item
Moi
Les sénateurs écolos et socialos ne valent pas mieux.
France Fougère
Quelqu’un a rappelé – je ne sais plus qui – qu ‘à l’origine, il s’agissait ” simplement ” d’une dépénalisation de l’avortement.
Pas d’une banalisation ni d’un droit.
Malheureux enfants.
Biem
Malheureuses mères qui pensent que ce n’est qu’un geste hygiénique. Seigneur, pardonnez-leur, elles ne savent pas ce qu’elles font.