Les députés espagnols ont approuvé le 25 juin, à une très large majorité de 311 contre 33, une réforme du Code pénal qui pénalise quiconque s’opposerait à la « transition de genre » médico-chirurgicale d’un mineur qui en fait la demande.
A l’exception de Vox qui y était opposé, et de l’Union du peuple navarrais qui s’est abstenu, tous les groupes étaient favorables à cette mesure, proposée par les socialistes.
L’article 173 du Code pénal prévoit désormais des peines de prison à l’encontre de quiconque s’opposerait à la « transition de genre » médico-chirurgicale d’un mineur qui en fait la demande.
Les médecins, psychologues ou enseignants qui n’iraient pas dans le sens d’une « thérapie d’affirmation » peuvent en outre être condamnés à l’interdiction de travailler avec des mineurs.
PascaleBrebis
«La prison pour quiconque s’opposerait à la « transition de genre » médico-chirurgicale d’un mineur». Ce serait donc moins risqué de le tuer en France ou ou de le prostituer en Angleterre!
On ne peut enlever aux parents leurs responsabilités quant à l’intégrité physique et psychologique de leurs enfants : rien d’irrémédiable avant 18 ans ; ni piercing, ni tatouage et encore moins de mutilations chirurgicales. Mais après, ils peuvent même se faire euthanasier gratis dans les pays «progressistes»!
PaulBlaise
On est passé de « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté » à « Pas de liberté pour ceux qui s’opposent à nos délires ». Vive la révolution ?