L'hypersexualisation de notre société a un nouvel effet pervers : la prostitution volontaire des enfants dans les écoles. Des explications du Figaro :
"«Un baiser contre un DVD, un attouchement des seins contre un vêtement, une fellation contre un cadeau… La prostitution, ça commence quand?» L'association Agir contre la prostitution des enfants (ACPE) s'apprête à lancer le premier outil pédagogique pour aider les enseignants à aborder ce sujet délicat avec les jeunes. «Notre propos n'est pas de faire peur aux familles! assure Armelle Le Bigot Macaux, sa présidente. Mais il faut ouvrir les yeux: la banalisation de la sexualité, la facilité d'accès au porno, la réduction du corps humain à un objet, ce sont, pour nos adolescents, des facteurs de risque de basculement dans la prostitution. En tout cas, ces pratiques vont polluer leurs relations psychoaffectives.»"[…]
La chosification de l'être humain étend ses tentacules et atteint les enfants de plein fouet. Si le slogan "mon corps m'appartient" pouvait avoir une utilité autre que développer l'avortement, on serait content de l'apprendre. Ce n'est pas en emmenant les enfants de 8 ans voir des expositions comme "le zizi sexuel" que l'on va lutter efficacement contre la banalisation de la pornographie dès le plus jeune âge.
Anne
La prostitution enfantine a commencé avec le fameux 3615 ado où une foule d’adultes faisaient des propositions à des mineurs venus sur le site pour rencontrer d’autres mineurs. L’état avec France Télécom y a gagné beaucoup d’argent !
Aujourd’hui, on retrouve ce phénomène avec internet ! On va jusqu’à déshabiller ces jeunes par webcam interposées. Mais ce qu’on ne leur dit pas, on les filme. Et on les retrouve ensuite sur youtube. Ils font le bonheur d’ une clientèle pédo avide de nouveautés journalières.
Bien entendu, des propositions d’argent, de sac à main Vuitton, de téléphone portable aident à pervertir les jeunes. Ceux-là sont loin de penser qu’une seule expérience peut les détruire à vie.
Tout cela se fait avec la complicité des écoles et éducateurs qui leur expliquent que l’homosexualité c’est normal, l’avortement pas un problème au cas où etc….
Andrée
Voilà ce qu’un enfant voit quand il fait une recherche sur Paul McCathy pour son école :
https://www.google.fr/search?q=Paul+McCarthy&rlz=1C1SKPC_enFR325FR360&espv=2&biw=1280&bih=909&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ei=L_xEVOa_OMK_PMGIgKgO&ved=0CAYQ_AUoAQ
Le sapin vert qu’aime tant la ministre de la cul-ture ne serait-il pas là pour encourager encore une fois la décadence des moeurs et l’antichristianisme ? Fleur Pellerin semble aimer voir les enfants enc. les animaux, les signes scatologiques comme elle a certainement aimé le Pisschrist ou Golgota-picnic directement inspiré du talmud non censuré ! Un sapin vert en fin d’année, pour beaucoup de gens, cela fait penser au Noël chrétien, non ? Bref, Pellerin, une ministre aux sentiments troubles ! Elle ne doit pas être bien dans sa tête !
Bernard Mitjavile
Tout se tient aussi on ne peut vraiment lutter contre ces phénomènes sans une révision générale du rôle de la sexualité dans la publicité, dans l’éducation nationale qui est très loin de l’éducation à une sexualité responsable souhaitée par Jean-Paul 2, le cinéma en un mot toute la culture. Ceci dit, Agir contre la prostitution fait un bon travail.
DUPORT
Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes
I-Ronnie
Je suis d’accord, c’est surtout contre l’hypersexualisation de notre société qu’un gouvernement sain devrait lutter au lieu de tout faire pour l’encourager au nom d’une prétendue diversité. Les mêmes qui disent fumer tue, bouge toi ne semblent pas voir, pas vouloir voir ce qu’ils encouragent en le propageant dans le monde protégé, préservé qu’est et doit rester l’école. De droite comme de gauche, sur ce point ils ont franchi le Rubicon. La sexualité se lie à la société, nous lie à la société, nous sort du cadre familial. Plus cela est fait tôt, plus il y a risque de destruction. or, déjà les familles ne sont plus le meilleur lieu dans bien des cas, préserver l’école, ce serait pouvoir remettre des protections nécessaires aux enfants. On ne veut pas le faire et l’on va détruire une génération par incompétence pédagogique puis on dira sans doute que c’est la faute des enseignants. Ici, je trouve un vrai bon sens et un vrai sujet de lutte pour protéger l’enfance du mercantilisme. Combien j’eus voulu qu’il vienne d’une gauche gouvernementale. Pour ma part, je saurai transmettre cela dans un milieu enseignant.
gautier
Cela peut commencer par faire pression sur le gouvernement pour l’empecher d’introduire une education a la sexualite des le plus jeune age dans les ecoles, de denoncer cela haut et fort. En effet, banaliser le sexe des le plus jeune age au detriment de ce que veulent inculquer les familles ne peut pas, a mon avis, inciter les enfants a se mefier de ce genre de derives puisqu’on veut leur inculquer que toutes les pratiques se valent !!! Laissons donc AUX FAMILLES le soin d’eduquer leurs enfants selon leurs propres valeurs !
professeur Tournesol
Au delà de la question de la sexualité, cela montre aussi l’hyper-matérialisme de notre société de consommation, certains sont près à tout pour avoir le dernier “smartphone” à la mode.
professeur Tournesol
Il faudrait aussi trouver un moyen efficace pour empêcher les enfants d’accéder à des sites pornographiques, avant internet l’accès à la pornographie était limité, aujourd’hui c’est ce qu’il y a de plus facile. Il suffit de cliquer “je certifie être majeur” : quelle efficacité ! C’est comme si il suffisait de dire au gendarme : “je n’ai pas pu d’alcool” ou “j’ai mon permis”.
Si encore il s’agissait de jeunes de 16 / 17 ans, mais non, à 10 ans beaucoup d’enfants ont déjà vu une video pornographique, où la femme est généralement représentée comme un objet sexuel.Cette chère Najat ferait bien se s’en préoccuper.
professeur Tournesol
J’apprends sur “Causeur” qu’en Espagne se répand la mode du “mamading” dans les boîtes de nuit : fellations contre boissons gratuites. Cela ne concerne pas spécifiquement les adolescentes, mais c’est le même phénomène de banalisation de la sexualité contre avantages matériels.