Deux articles intéressants sur le drame de la bombe atomique d'Hiroshima, dont c'est aujourd'hui le triste anniversaire :
Un article du Point, qui relativise la portée des bombes d'Hiroshima et de Nagasaki dans la capitulation japonaise, car de nombreux historiens estiment que le Japon aurait capitulé de toute manière.
"Il est 8 h 15, le 6 août 1945, lorsque le bombardier Enola Gay largue Little Boy sur Hiroshima. Little Boy, "Petit garçon" : un nom charmant pour une bombe à uranium dotée d'une force destructrice équivalant à 16 kilotonnes de TNT. 43 secondes plus tard, elle explose en une boule de feu dégageant une température d'un million de degrés Celsius. La ville entière est ravagée, des centaines de corps carbonisés flottent dans les cours d'eau, on estime à 150 000 environ le nombre de tués. Trois jours plus tard, le feu nucléaire américain se déchaîne de nouveau, à Nagasaki : 74 000 morts de plus. Le 15 août, le Japon capitule. Sous l'effet conjugué des deux attaques, a-t-on coutume de dire. De nombreux spécialistes, pourtant, nuancent cette analyse."[…]
Ce dont très peu d'historiens parlent, en revanche, est la protection miraculeuse des Jésuites d'Hiroshima par la Sainte Vierge, lorsque la bombe est tombée.
"Pour en revenir au miracle, lors de l’explosion, un groupe de jésuites missionnaires allemands, fervents adeptes de la prière du Rosaire, furent ainsi épargnés de toute contamination radioactive et de toute destruction alors que leur maison était à 100 mètres du centre de l’explosion (ground zero). La maison typiquement japonaise dans laquelle ils se trouvaient, fut elle aussi épargnée. Ils moururent bien des années plus tard (le Père Hubert Schiffer vécut jusqu’à l’âge de 63 ans, il était âgé de 30 ans au moment de l’explosion le 6 août 1945)."
Les scientifiques ne crurent pas les Jésuites lorsque ceux-ci expliquèrent que c'était grâce à la prière quotidienne du rosaire qu'ils avaient été épargnés, mais quelle autre explications donner ?
"Les Jésuites expliquent, à juste titre, avoir reçu une sorte de « bouclier de protection » de la Sainte Vierge contre les rayonnements et leurs effets sur le court et long terme. Le même cas se produira à Nagasaki, avec le couvent franciscain de Saint Maximilien Kolbe, où les frères priaient là aussi quotidiennement le Rosaire. Ce qui correspond exactement aux paroles de la Vierge Marie à Saint Dominique et Alain de la Roche « Celui qui se confie en moi par le Rosaire, ne périra pas« , ou encore « Ceux qui propageront mon Rosaire seront secourus par moi dans toutes leurs nécessités« ."