De Liberté Politique :
Cette semaine, le ministre Marlène Schiappa explique à Eric Zemmour sur un plateau de télévision comment l’on peut participer au Conseil des ministres, et rédiger des romans pornographiques à ses heures perdues…
La corruption est bien présente partout, y compris, voire surtout, dans la classe politico-médiatique.
C’est pour cette raison que Stop au porno décide d’attaquer en justice le Conseil Régional d’Île-de-France, au sujet du tristement célèbre festival “Solidays”.
Chaque été se tient en Ile-de-France un grand festival prétendument caritatif et culturel, Solidays, destiné à venir en aide aux malades du Sida.
Cette cause originelle a été enrichie par les organisateurs, qui ne se contentent pas de détruire les tympans des participants par de la musique électronique, mais proposent surtout des séances de débauche collective comme des ateliers de “découverte sexuelle” (seul ou à plusieurs, naturellement). Solidays, par sa popularité auprès des jeunes gens, s’est donc mue en véritable entreprise de perversion collective.
Alors que la billetterie pour le festival s’ouvre actuellement, Stop au porno a choisi d’attaquer en justice le Conseil Régional d’Île-de-France qui a accordé une subvention de 800 000 euros à cette entreprise de diffusion à grande échelle de la pornographie. Dans cette affaire, la responsabilité de Valérie Pécresse, sa Présidente, est extrêmement lourde.