Ce matin, Nicolas Sarkozy a déclaré à propos des français de l’Arche de Zoé détenus au Tchad :
"J’irai chercher ceux qui restent, quoi qu’ils aient fait".
Réponse courroucée des autorités du Tchad :
"Ce n’est pas le président Sarkozy qui décidera [Ce propos est] de la part d’un chef d’Etat, très grave […] il veut humilier les magistrats tchadiens [Au regard de l’article 49-C de la convention de 1976 qui lie le Tchad à la France toute extradition est impossible] quand une infraction est commise en tout ou en partie [sur le territoire tchadien] Par conséquent, nous renvoyons les autorités françaises à une bonne lecture de l’article 49" !
MJ