Une du JDD de dimanche matin :
Réponse de l’Elysée :
La Présidence de la République dément avoir employé les termes « faire peur » qui lui sont prêtés dans l’édition du jour du JDD.
Il ne s’agit ni de son expression ni de son intention.
En cette période grave où, face à la menace russe,…
— Élysée (@Elysee) March 9, 2025
Il suffit de lire l’article pourtant :
[…]
Collapsus
La France et sans doute l’Europe vont payer les frasques invraisemblables de la vie conjugale dévoyée du couple Macron-Brigitte/Jean-Michel. À l’heure où la vente du livre de Xavier Poussard (Devenir Brigitte) atteint des sommets sur Amazon, récit où tous les secrets de fabrication du candidat Macron et de la promotion médiatique de son “épouse” Brigitte sont dévoilés, ne serait-ce pas là une course en avant pour obstruer l’actualité et freiner la divulgation de ce véritable scandale d’État ?
Gaudete
Ce on ne peut même plus lui affubler un nom ou un épithète tellement ce type est abject et nous a ruiné. Encore ce soir Erik Teigner dans face à l’info a égrené les turpitudes de ce saltimbanque: toutes les entreprises vendues à l’étranger et en particulier aux américains et notamment des industries d’armement et après ça il va chanter qu’il faut se réarmer, avec quoi, espèce de Jean-foutre, on n’a plus grand chose, mais il s’en tape, du moment qu’il se voit président de la commission européenne
Garde67
La guerre en Ukraine est suffisamment atroce pour ne pas en rajouter avec des interprétations douteuses.
La “peur” de la Russie témoigne de l’ignorance crasse dans laquelle nous sommes. Tellement obnubilé par les États-Unis et soumis à eux, nous ignorons tout de la civilisation slave orthodoxe, nos frères dans la foi chrétienne. La Russie, serait-elle plus belliqueuse que les États-Unis, qui, après la Seconde Guerre mondiale, sont intervenus partout dans le monde ? Avec quels résultats ?
Et puis, tous les conflits ont de nombreuses causes qui remontent dans le temps et dans l’histoire. Le deuxième conflit mondial trouve, en partie, des causes dans le traité de Versailles de 1919, lui-même, conséquence de la Première Guerre mondiale, laquelle est une riposte à celle de 1870. Le conflit en Ukraine mérite une analyse historique, civilisationnelle plus poussée qui serait en mesure de comprendre l’intervention russe, il y a trois ans. Et ainsi de préparer les chemins pour une paix juste et équilibrée.
Nous ne sommes pas, nous Français, l’ennemi de la Russie. Le danger existentiel qui nous menace est l’islamisme. Celui-ci ne pourra que progresser que si, un conflit ouvert éclate entre la France et la Russie, c’est-à-dire entre deux nations chrétiennes, l’une catholique : “La Fille Ainée de l’Église” et l’autre, le berceau de l’orthodoxie. Je ne suis pas certain que la laïcité républicaine soit en mesure de nous aider à comprendre ce qui se joue vraiment.