Dans son éditorial de Libération, François Sergent signe un plaidoyer en faveur de la dénaturation du mariage. Critiquant les pro-famille, il termine ainsi :
"Que les imprécateurs du mariage gay, grands défenseurs de la
civilisation, apprennent la vertu première d’une société justement
civilisée, la tolérance des différences."
Justement : les militants homosexualistes veulent nier les différences en dénaturant le mariage et en laissant croire qu'un enfant peut être privé par la loi de père ou de mère.
PK
C’est là-dessus que les gauchistes vont pouvoir coincer les catho-bobo.
En abandonnant toute rigueur dans la dialectique depuis des dizaines d’années, ces cathos n’ont plus d’armes pour affronter la dialectique marxiste qui reprend adroitement celle de l’Église (en la déformant)…
Ils vont hélas les croquer tout cru…
Grand Ma
Quoi qu’en dise ce monsieur, il y aura toujours une différence entre un homme et une femme. Et justement il faut les deux pour concevoir un enfant.
Jef
Quel idiot, quand même, ce François Sergent !
Invoquer la « tolérance des différences » pour justifier, précisément la SUPPRESSION des différences !
Vraiment François Sergent fait partie de ces gens qu’on reconnaît à cela qu’ils osent tout…
philippe
Bien vu Jef. C’est précisément en étant tolérant sur les différences…qu’on les reconnait. Hors si l’on supprime cette différence, c’est précisément de l’intolérance puisque celui là même qui se réclame différent ne reconnait pas la différence de l’autre. Comme on disait dans les cours de récréation: “c’est celui qui dit qui est”…
Sancenay
Cet aimable “sergent Garcia” de la police de la pensée veut gentiment nous expliquer que la “tolérance” selon la religion du Progrès contre l’humanité, c’est la transgression permanente, la négation de la loi naturelle, de l’humanité même, et au final la dictature d’une minorité idéologique aux ordres de quelques obscures stratèges aux motivations, pour leur part, sommes toute assez peu philanthropes et beaucoup plus réalistes.
Mais cela on le savait déjà au moins depuis Voltaire et consorts.
Et c’est pour cela que nous sommes déterminés à préserver les générations à venir de ses effets.