En Espagne, le ministre de la justice Alberto Ruiz-Gallardon a évoqué l'existence d'une violence structurelle poussant les femmes à mettre un terme à leur grossesse contre leur volonté :
"je pense que dans de nombreuses occasions, il y a une violence structurelle contre la femme pour le simple fait d'être enceinte".
Ces propos ont immédiatement provoqué un tollé chez les pro-avortements. Le Parti populaire et le ministre de la justice lui-même ont expliqué qu'en parlant de violence, il faisait référence au harcèlement et à la discrimination sur le lieu de travail contre nombre de femmes enceintes.